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L’Hépatite B

Le vaccin contre l’hépatite B vient s’associer aux autres vaccins et, les spécialistes vaccinologues comme les autres observateurs des vaccins ont constaté que cette association s’attaquait très souvent au système nerveux de l’individu vacciné, qu’il facilitait l’installation de maladies auto-immunes en favorisant un vieillissement prématuré.

Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’avait pas hésité à avancer des chiffres sans aucune base scientifique, mais qui avaient été suggérés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40.000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », (Cf., Libération le 4 septembre 1994.) Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. Ce chiffre représentait 70% de la population mondiale ! Personne n’a jamais relevé l’énormité du mensonge pour protester officiellement.

Une note interne, du laboratoire Pasteur-Mérieux dit : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie ». Cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère. Mais non, rien, aucune suite, l’impunité absolue et le crime continue allègrement ses ravages…

C’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, en étant juge et partie. Dans sa plaquette il affirmait : « la salive est un important vecteur de la contamination ».

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel… Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B. Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave à partir de la vaccination est très élevé. Mais cela, personne ne le dira jamais officiellement. Pourquoi ?

Dire sans vergogne qu’il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, The Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent et signent en affirmant qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, l’associé de Pasteur-Mérieux.

Les marchands de vaccins avec nos instances de santé complices, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens n’ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent d’affirmer scandaleusement qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors que le Revahb possède à lui seul plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également. Encore du mensonge, rien que du mensonge !

« Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps » (Dr Ron Paul, Sénateur américain).