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« LA LEGENDE DU VACCIN »

« Le cas le plus emblématique de cette histoire des vaccins, reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner compulsivement des millions d’écoliers chaque année.

Les recherches de l’INSERM ont démontré que le nombre de décès par tuberculose avait baissé de 80 % au moment où fut introduit le vaccin BCG obligatoire le 5 janvier 1950 ! Les campagnes de vaccination n’ont pas modifié les courbes de la maladie.

La tuberculose a continué à régresser au même rythme qu’avant les vaccinations obligatoires grâce à l’amélioration de l’hygiène et à la généralisation de l’eau courante. Nous savons, de plus, qu’être vacciné contre le BCG ne protégeait ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie.

Toutes les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France sont pourtant vaccinées, mais socialement marginalisées et souffrant d’une mauvaise alimentation à cause de leur précarité et hygiène de vie… »

Le vaccin de la BCG contient en lui des risques d’effets secondaires ! C’est la raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80, en Europe, sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué la quasi-disparition des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Les sanatoriums et les antibiotiques avec la clofazimine, dès les années 50, ont été les vrais moyens d’éradication de la tuberculose et non pas les vaccins …

Les vaccins contre la tuberculose posent des problèmes graves en 1927 en Angleterre, puis en Suède. En 1928, la Société des Nations organise un congrès sur le thème des vaccins. Le BCG est déclaré inefficace. En 1930 à Lübeck en Allemagne, 251 enfants sont vaccinés BCG : 70 meurent de la tuberculose généralisée, 130 parviennent à y échapper péniblement ; seuls 40 sur les 251 ne présentent aucun symptôme. En 1948, le Premier Congrès International du BCG à l’Institut Pasteur déclare ce vaccin inefficace, car « il ne favorise qu’une immunité très relative ». Cela n’empêchait pas les « autorités sanitaires » françaises de le rendre obligatoire en 1950 !

Le professeur Marcel Ferru, chef de clinique de l’hôpital de Poitiers, professeur de sciences fondamentales à la Faculté de médecine, condamnait le BCG. Il publiait son étude en 1977 : « La faillite du BCG ». L’OMS testait le BCG sur 260.000 enfants en Inde. Conclusion des experts de l’OMS : le vaccin n’avait, en effet, aucune efficacité : ce sont les conditions d’hygiène qu’il fallait changer !