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Coleman John – Drug War Against America. [EN] PDF EBOOK a telecharger

Chapter One Drug War Against America Chapter Two Afghanistan’s Role in the International Opium/Heroin Trade Chapter Three The Phony Drug War Chapter Four Panama Under Siege Chapter Five Pakistan’s Role in the Drug War

Selon le livre du Dr John Coleman, le trafic de drogue est une activité extrêmement rentable, aux proportions énormes et aux coûts négligeables. Les États-Unis sont le leader de la consommation de drogue et ce trafic est une guerre menée principalement contre l’Amérique.

Implication de l’élite Le Dr Coleman révèle que les véritables promoteurs du trafic de drogue ne sont pas les trafiquants de rue ou le crime organisé, mais plutôt « l’élite » de la société, notamment les familles « royales », les familles « nobles » d’Europe et les « meilleures » familles d’Amérique, de Grande-Bretagne et du Canada. Ces puissants intérêts financiers soutiennent la militarisation des principales régions productrices de drogue, comme le Croissant d’or et la région andine.

Musique rock et promotion de la drogue Le Dr Coleman affirme que la musique rock, en particulier les Beatles, a été utilisée comme véhicule pour inciter à une consommation généralisée de drogue parmi la jeunesse américaine et en faire une coutume sociale acceptable. Il soutient que les groupes de rock découverts après les Beatles sont devenus partie intégrante d’une guerre psychologique menée contre la jeunesse de nombreuses nations.

Contexte historique Les familles oligarchiques britanniques et leurs cousins américains auraient lancé leur offensive contre l’Amérique sur le front de la drogue immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, en s’appuyant sur leur expérience et leur richesse acquises grâce au commerce de l’opium en Chine aux XVIIIe et XIXe siècles.

Une fausse guerre contre la drogue Le Dr Coleman suggère que la guerre contre la drogue est une « fausse » guerre, la majorité des Américains ne sachant pas qu’elle a été infligée à la société par des forces puissantes. Il soutient que le véritable ennemi ne peut pas être facilement identifié, contrairement à ce qui s’est passé pendant la Seconde Guerre mondiale, et que les usines de propagande sont réticentes à s’attaquer aux trafiquants de drogue, qui font partie du même réseau que les « faiseurs d’opinion ».