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Aux femmes enceintes !

Quelques chiffres des données du monde réel qui auraient dû normalement obliger le retrait immédiat de ce « vaccin ». 3631 déclarations de fausses couches et de décès fœtaux en Europe. PÁGINA UM (Journal indépendant portugais), divulgue les fiches individuelles (évidemment anonymisées) des notifications depuis 2021 des effets indésirables graves de la base de données Eudravigilance, gérée par l’EMA, relatives aux femmes enceintes. Le journal a parcouru des milliers et des milliers de dossiers de réactions indésirables aux vaccins contre la covid-19 chez les femmes enceintes. Malgré l’obscurantisme généralisé, qui rend les analyses statistiques difficiles et ne permet même pas de calculer l’incidence, l’enquête PÁGINA UM a constaté l’existence de plus de 5300 cas de réactions considérées comme graves, dont 3385 avortements et 246 morts fœtales. Plus de deux effets indésirables graves sur trois (68%) chez les femmes enceintes ont ainsi entraîné la perte de l’enfant.

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Le Coronavirus et la Covid-19

En avril 2020, les autorités sanitaires remettent le couvert : Jérôme Salomon commençait consciencieusement sa litanie des morts qui annonçaient les centaines de milliers de morts ; on le sait très précisément aujourd’hui : tous les chiffres étaient falsifiés (Cf., par exemple, entre autre source, la publication du chercheur de l’INSERM, le Pr Laurent Toubiana, « Covid 19, une autre vision de l’épidémie », ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas, les vérités d’un épidémiologiste, éditions l’Artilleur, 2022, 272 pages.)

La terreur était relayée par une mise en scène fallacieuse des hôpitaux. On mentait, on falsifiait, on manipulait à grande échelle : toute l’opération s’étendait essentiellement à l’occident dans son ensemble, là où il y avait de l’argent. Toutes les autres parties du monde n’étaient pas concernées par l’hécatombe. Tous ceux qui restaient lucides et honnêtes étaient immédiatement catalogués « charlatans » ou « complotistes ». On s’arrangeait pour falsifier tous les tests et les autres opérations, à partir d’une modélisation mathématique erronée. Si quelqu’un ne voulait pas se faire vacciner, il devait au moins le faire pour préserver les autres ! Comment une vaccination pouvait assurer l’immunité générale ? L’argument n’avait aucun fondement scientifique, pourtant les autorités sanitaires s’acharnaient et s’acharnent encore aujourd’hui à rendre obligatoire cette vaccination par tous les moyens ! Très vite il fallait multiplier les injections ! Très vite on remarquait que les vaccins ne protégeaient pas de l’infection et ne permettaient pas non plus d’éviter de contaminer les autres !

On inventait la réplique des « variants ». Peu importe, les fanatiques de la vaccination s’acharnaient en assurant que « les vaccins permettaient d’éviter les formes graves de la Covid-19 » ! Et le cirque sur le vaccin continue puisque ce groupe des complices au G20 2022, ont planifié la création d’un « pass vaccinal » obligatoire pour voyager… Le nouveau ministre de la santé, François Braun, déclarait le 9 décembre sur BFMTV, qu’un rappel du vaccin anti-Covid sera désormais nécessaire tous les six mois à perpétuité !

ils savaient que les « vaccins » faisaient du mal aux gens, mais n’ont rien dit. Les scientifiques qui travaillaient avec les LNP/ARNm savaient que cela serait très probablement dangereux. Malheureusement, c’est encore pire que nous le pensions…

Personne ne conteste à ce stade qu’il existe une pléthore de décès excessifs et une pénurie de naissances, une tendance qui devrait être LE problème de politique publique le plus alarmant. Pourtant, lorsque l’un d’entre nous suggère que la thérapie génique omniprésente dans le monde au moment de l’augmentation de ces chiffres pourrait être responsable, les gens nous regardent comme si nous venions de Mars. CEPENDANT, il s’avère, sur la base de documents FOIA (Le Freedom of Information Act, loi américaine d’accès à l’information) récemment publiés par le CDC, que le gouvernement américain était au courant et avait même anticipé des rapports massifs de blessures dues à ces injections dès le premier jour. Ce document de la FOIA montre que le gouvernement américain avait anticipé les blessures massives causées par les vaccins, puis les a observées dès le premier jour… ils ont continué à traiter plus de 30 000 rapports de blessures par semaine, mais le CDC n’en a jamais dit un mot. Je vous laisse imaginer ce qu’a bien pu nous cacher Macron&Co…

https://www.conservativereview.com/horowitz-they-knew-foia-document-shows-government-anticipated-mass-vaccine-injuries-then-observed-them-from-day-one-2659636848.html

Le grand public a été tenu dans l’ignorance à propos de la Covid et des vaccins. Lorsqu’ils admettront enfin la vérité, les politiciens n’auront aucune défense… et ils ne pourront pas dire  « NOUS NE SAVIONS PAS ». Pour mémoire, il y a tout juste 1 an, 1000 Articles médicaux sur les effets secondaires, liste non exhaustive malheureusement…

À archiver, LA LISTE COMPLÈTE de ces articles médicaux évalués par des pairs, qui attestent d’une multitude d’événements indésirables chez les receveurs du vaccin Covid-19. 80 pages de liens (Pdf en anglais)

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La Dengue

En 2015, Sanofi-Pasteur crée le vaccin Dengvaxia. On organise une campagne de vaccination dans les Philippines. 500.000 enfants sont vaccinés. Un an plus tard, tous les enfants vaccinés qui avaient été auparavant infectés par la Dengue, ne développaient aucun symptôme, alors que tous ceux qui étaient en bonne santé, sans avoir jamais été contaminés auparavant par la Dengue, développèrent tous des formes sévères de la maladie : on retira le Dengvaxia du marché ! Théoriquement, un vaccin doit anticiper le premier contact avec l’agent pathogène, puisque une fois le virus contracté, l’organisme est naturellement immunisé. Pourquoi Sanofi-Pasteur déclarait dans un communiqué que 70% à 90% des habitants des Philippines sont exposés à la Dengue au moins une fois avant l’adolescence ?! Dans ce cas, où était l’intérêt de vacciner cette population au Dengvaxia, à part celui des énormes profits financiers à faire sur le dos de braves gens ?!

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H1N1 grippe aviaire

C’est la raison pour laquelle, les campagnes de vaccination comme celle du H1N1, devait impérativement passer par une campagne préalable de terreur organisée, il fallait distiller d’abord la peur, pour provoquer la possibilité de la vaccination. On sait à quel point cette campagne de Mme Roselyne Bachelot en 2005, fut un échec cinglant et on attend toujours les millions de morts annoncés dans le monde par cette « pandémie » de grippe aviaire ! Notre ministre de la santé achetait 13,7 millions de doses de Tamiflu et harcelait les journaux et les plateaux de Télévisions, pour qu’ils répandent la psychose dans la population. Les professeurs Jean-Philippe Derenne, pneumologue et François Bricaire, infectiologue, annonçaient dans leur livre « La grande menace de la grippe aviaire », Fayard 2005, plus de 500.000 morts en France ! Pour éviter ce désastre il fallait injecter le Tamiflu. Finalement sur les 67 millions d’habitants en France, 4 millions se laisseront convaincre par cette campagne mensongère qui fut un flop retentissant et une démonstration supplémentaire sur le mythe tenace de la vaccination dans les cerveaux toujours conditionnés par la propagande de la religion vaccinaliste…

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L’Hépatite B

Le vaccin contre l’hépatite B vient s’associer aux autres vaccins et, les spécialistes vaccinologues comme les autres observateurs des vaccins ont constaté que cette association s’attaquait très souvent au système nerveux de l’individu vacciné, qu’il facilitait l’installation de maladies auto-immunes en favorisant un vieillissement prématuré.

Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’avait pas hésité à avancer des chiffres sans aucune base scientifique, mais qui avaient été suggérés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40.000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », (Cf., Libération le 4 septembre 1994.) Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. Ce chiffre représentait 70% de la population mondiale ! Personne n’a jamais relevé l’énormité du mensonge pour protester officiellement.

Une note interne, du laboratoire Pasteur-Mérieux dit : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie ». Cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère. Mais non, rien, aucune suite, l’impunité absolue et le crime continue allègrement ses ravages…

C’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, en étant juge et partie. Dans sa plaquette il affirmait : « la salive est un important vecteur de la contamination ».

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel… Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B. Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave à partir de la vaccination est très élevé. Mais cela, personne ne le dira jamais officiellement. Pourquoi ?

Dire sans vergogne qu’il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, The Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent et signent en affirmant qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, l’associé de Pasteur-Mérieux.

Les marchands de vaccins avec nos instances de santé complices, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens n’ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent d’affirmer scandaleusement qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors que le Revahb possède à lui seul plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également. Encore du mensonge, rien que du mensonge !

« Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps » (Dr Ron Paul, Sénateur américain).

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La Grippe saisonnière

Chaque année à l’automne, les médias collabos arrosés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe saisonnière, en allant jusqu’à raconter que c’est gratuit. C’est un premier mensonge, car tout le monde sait que les labos sont payés par l’argent public et ce sont les usagers qui financent ces frais sous forme des prélèvements de la Sécurité Sociale.

Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, aux USA est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »

L’épidémiologiste Lone Simonsen des National Institutes of Health de Bethesda, écrivait dans The Lancet du 25 septembre 2007 : « il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité du vaccin contre la grippe chez les plus de 65 ans… » On sait pourtant que plus de 65% des plus de 65 ans se font vacciner en France chaque année contre le virus de la grippe ! Les études d’épidémiologie comme celle de 2005 dans « International Archives of Medicine » démontrent que 76% des morts de la grippe étaient vaccinés. Les ayatollahs de la vaccination claironnent toujours que les vaccins diminuent de 50% les risques de mort par la grippe hivernale !

Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.

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« LA LEGENDE DU VACCIN »

« Le cas le plus emblématique de cette histoire des vaccins, reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner compulsivement des millions d’écoliers chaque année.

Les recherches de l’INSERM ont démontré que le nombre de décès par tuberculose avait baissé de 80 % au moment où fut introduit le vaccin BCG obligatoire le 5 janvier 1950 ! Les campagnes de vaccination n’ont pas modifié les courbes de la maladie.

La tuberculose a continué à régresser au même rythme qu’avant les vaccinations obligatoires grâce à l’amélioration de l’hygiène et à la généralisation de l’eau courante. Nous savons, de plus, qu’être vacciné contre le BCG ne protégeait ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie.

Toutes les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France sont pourtant vaccinées, mais socialement marginalisées et souffrant d’une mauvaise alimentation à cause de leur précarité et hygiène de vie… »

Le vaccin de la BCG contient en lui des risques d’effets secondaires ! C’est la raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80, en Europe, sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué la quasi-disparition des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Les sanatoriums et les antibiotiques avec la clofazimine, dès les années 50, ont été les vrais moyens d’éradication de la tuberculose et non pas les vaccins …

Les vaccins contre la tuberculose posent des problèmes graves en 1927 en Angleterre, puis en Suède. En 1928, la Société des Nations organise un congrès sur le thème des vaccins. Le BCG est déclaré inefficace. En 1930 à Lübeck en Allemagne, 251 enfants sont vaccinés BCG : 70 meurent de la tuberculose généralisée, 130 parviennent à y échapper péniblement ; seuls 40 sur les 251 ne présentent aucun symptôme. En 1948, le Premier Congrès International du BCG à l’Institut Pasteur déclare ce vaccin inefficace, car « il ne favorise qu’une immunité très relative ». Cela n’empêchait pas les « autorités sanitaires » françaises de le rendre obligatoire en 1950 !

Le professeur Marcel Ferru, chef de clinique de l’hôpital de Poitiers, professeur de sciences fondamentales à la Faculté de médecine, condamnait le BCG. Il publiait son étude en 1977 : « La faillite du BCG ». L’OMS testait le BCG sur 260.000 enfants en Inde. Conclusion des experts de l’OMS : le vaccin n’avait, en effet, aucune efficacité : ce sont les conditions d’hygiène qu’il fallait changer !

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SOIGNER UNE ENTORSE À LA CHEVILLE

Cette lésion peut durer généralement plusieurs semaines selon la gravité de l’entorse.

Attention, une entorse mal soignée laisse des séquelles musculaires et peut poser de véritables problèmes par la suite, allant jusqu’à une intervention chirurgicale.

Juste après le choc :

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 – Apposer de la glace sur la zone touchée pour soulager la douleur, afin de permettre à la zone de dégonfler,

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 – Cesser toute activité physique et repos.

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 – Envelopper la région atteinte à l’aide d’un bandage élastique,
Ne pas serrer trop fort pour ne pas couper la circulation sanguine,

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 – Surélever le plus possible votre jambe,
Le membre blessé doit être élevé de 10 cm plus haut que le coeur (être assis le pied posé sur un tabouret n’est pas efficace),
Maintenir l’élévation pendant 2 à 3 heures chaque jour, jusqu’à ce que la douleur et l’enflure diminuent.

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 Pour une petite entorse, préparer un cataplasme épais d’argile verte à étaler sur la zone douloureuse, faire des bains d’eau tiède salée.

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 Pour une entorse grave, consulter un médecin.

Article complet :
https://www.compagnie-des-sens.fr/entorse-cheville-traitement-naturel/

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dommages causés par l’injection ARNm COVID-19

Un nouveau rapport estime que 26,6 millions de personnes ont été blessées, 1,36 million handicapées et 300 000 décès en excès peuvent être attribués aux dommages causés par l’injection ARNm COVID-19 pour la seule année 2022, ce qui a coûté près de 147 milliards de dollars à l’économie.

La société de recherche Phinance Technologies, fondée et dirigée par Ed Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille chez Blackrock, Yuri Nunes (PhD en physique, MSc en mathématiques) et Carlos Alegria (PhD en physique, finance), a divisé l’impact des vaccins en quatre grandes catégories pour estimer les coûts humains associés au vaccin Covid-19 : aucun effet ou asymptomatique, ceux qui ont subi des blessures (résultat léger à modéré), ceux qui sont devenus invalides (résultat sévère) et la mort (résultat extrême).

Les données sur les incapacités et les blessures dues aux vaccins proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres relatifs à la surmortalité sont tirés des chiffres officiels sur les décès aux États-Unis par le biais de deux méthodes différentes.

Il est important de noter que les personnes appartenant à une catégorie (blessées, par exemple) peuvent passer à d’autres catégories de gravité, ce que cette analyse ne prend pas en compte.

« Nous devons garder à l’esprit que ces regroupements ne sont pas seulement une tentative de caractériser les différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais qu’ils ne sont pas statiques et qu’ils peuvent interagir les uns avec les autres », peut-on lire dans le rapport. « Par exemple, il peut y avoir des individus qui n’ont pas eu d’effets visibles après la vaccination, mais qui peuvent néanmoins être affectés. »

« Les personnes ayant subi des blessures légères à la suite des inoculations pourraient, au fil du temps, développer des blessures graves au point d’être handicapées, ou une issue extrême telle que la mort. »28🌍Omar🌏 ce que Allah me reserve bienvenu et ceux qui veulent se prendre07:50

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la peste bubonique

De la part de François de Siebenthal
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Il y a 500 ans, quelque chose de très, très similaire à ce que nous vivons aujourd’hui s’est produit à Genève….

Espérons que la fin sera aussi comme ça.

« Lorsque la peste bubonique a frappé Genève en 1530, tout était prêt.

Un hôpital entier a même été ouvert pour les victimes de la peste.
Avec des médecins, des paramédicaux et des infirmières.

Les marchands se cotisaient, le magistrat donnait des subsides tous les mois.
Les malades donnaient toujours de l’argent, et si l’un d’eux mourait seul,
tous les biens allaient à l’hôpital.

Mais le désastre est arrivé : la peste s’est éteinte,
alors que les subventions dépendaient du nombre de patients.

Pour le personnel de l’hôpital de Genève en 1530, il n’y a pas de question de bien et de mal.
Si la peste rapporte de l’argent, alors la peste est bonne.
Et puis les médecins se sont organisés.
Au début, ils empoisonnaient simplement les patients pour augmenter les statistiques de mortalité, mais ils se sont vite rendu compte que les statistiques ne devaient pas seulement porter sur la mortalité, mais sur la mortalité due à la peste.
Ils ont donc commencé à couper les furoncles des corps des morts, à les sécher, à les broyer dans un mortier et à les donner aux autres patients comme médicament.
Puis ils ont commencé à saupoudrer la poudre sur les vêtements, les mouchoirs et les jarretières.
Mais d’une manière ou d’une autre, la peste continuait à diminuer.
Apparemment, les furoncles séchés ne fonctionnaient pas bien.
Les médecins sont allés en ville et ont saupoudré la poudre bubonique sur les poignées de porte pendant la nuit, sélectionnant les maisons où ils pouvaient alors en profiter.
Comme l’a écrit un témoin oculaire de ces événements, « cela est resté caché pendant un certain temps, mais le diable est plus soucieux d’augmenter le nombre de péchés que de les cacher. »
En bref, l’un des médecins devint si impudent et paresseux qu’il décida de ne pas parcourir la ville la nuit, mais de simplement jeter un paquet de poussière dans la foule pendant la journée.
La puanteur monta jusqu’au ciel et l’une des filles, qui par un heureux hasard avait récemment quitté l’hôpital, découvrit ce qu’était cette odeur.
Le médecin a été ligoté et placé entre les bonnes mains des « artisans » compétents.
Ils ont essayé de lui soutirer le plus d’informations possible.
Cependant, l’exécution a duré plusieurs jours.
L’ingénieux Hippocrate était attaché à des poteaux sur des charrettes et promené dans la ville.
À chaque carrefour, les bourreaux utilisaient des pinces chauffées au rouge pour arracher des morceaux de leur chair.
Ils étaient ensuite conduits sur la place publique, décapités et écartelés, et les morceaux étaient portés dans tous les quartiers de Genève.
Seule exception, le fils du directeur de l’hôpital, qui n’a pas pris part au procès mais qui a lâché qu’il savait faire des potions et préparer la poudre sans crainte de contamination.
Il a simplement été décapité « pour empêcher la propagation du mal ».

⁃ François Bonivard, Chroniques de Genève, deuxième volume, pages 395 – 402 :
https://archive.org/details/chroniqvesdegen00chapgoog/page/n421/mode/2up