🍔 Que se passe-t-il dans votre corps après avoir mangé un Big Mac ?🍿
⏰ 10 mn après : bourré de sucres et de graisses saturées, un Big Mac stimule votre cerveau, qui développe de la dopamine, « l’hormone du bonheur », comme chez les consommateurs de drogue.
⏰ 20 mn après : comme un drogué sans sa dose, vous êtes en manque. Après un Big Mac, on veut toujours plus de sucre. Vous avez toujours faim et même encore plus faim, parce qu’un Big Mac, composé de sucres rapides et de graisses saturées n’est pas rassasiant sur le plan nutritionnel et parce que le sucre est un cercle vicieux. Plus on en mange, plus on en a envie.
⏰ 30 mn après : le sel fait s’emballer la machine. Un Big Mac contient à peu près 0,97 gramme de sel quand l’apport journalier recommandé doit être inférieur à 5 grammes par jour. Sans compter les frites ! Si vous prenez la grande portion, c’est 0,72 gramme. Première conséquence : vous êtes déshydraté. Et souvent cette sensation peut se confondre avec la faim. Donc, là encore, vous êtes tenté de continuer à manger. Ensuite, le sel contenu dans le Big Mac commence à rendre difficile le travail des différents organes : les reins ont du mal à évacuer le sel et, devant l’excès, les tissus commencent à produire du liquide pour faciliter sa disparition, ce qui complique la tâche du cœur qui se met à battre plus rapidement, ce qui le fatigue.
⏰ 40 minutes après : on en veut toujours plus. Ce qui nous fait, cette fois, vouloir remettre le couvert après avoir mangé un Big Mac, c’est le fait que notre glycémie déraille quelque peu après un tel repas. En effet, les sucres rapides contenus dans le hamburger ont tendance à provoquer des pics d’insuline. Cette hormone libérée par le pancréas a pour but de réguler le taux de glycémie. Quand l’insuline redescend brutalement, c’est le coup de pompe et la fringale assurés.
⏰ 60 minutes après : la digestion s’éternise. Normalement, notre corps met de 24 à 72 heures à digérer. Mais pour les graisses saturées, c’est une tout autre histoire… Elles sont digérées au bout de… 51 jours.
⏰ À moyen et long termes : si vous vous nourrissez souvent de la sorte, rapidement vous serez en surpoids, voire obèse, et augmenterez considérablement les risques de cancer, de maladies du cœur, d’AVC, de diabète, d’hypercholestérolémie et de caries dentaires.
⏰ Enfin, en cas de pandémie, vous serez une personne à très haut risque, notamment parce que l’inflammation permanente des tissus rend le système immunitaire moins apte à réagir à un antigène étranger. Or, rien de sérieux n’a été fait en terme de pilotage durant le Covid : il fallait en effet enfermer puis vacciner tout le monde de façon effrénée !
Pourtant, la Direction générale de la santé et l’Assurance maladie disposaient d’au moins trois bases nationales informatisées bien renseignées : Si-Vic (permettant de suivre les hospitalisations), Si-Dep (les dépistages) et Vac-Si (les vaccins).
Ces bases de données auraient pu permettre un pilotage bien plus fin de l’épidémie, d’autant que l’on sait que l’obésité touche principalement les milieux les plus précaires, qui sont aussi les plus exposés au virus, et que les facteurs environnementaux participent à l’augmentation du nombre de personnes en surpoids.
Pour résumer : en France, en terme de santé publique, on s’occupe (mal) des conséquences et (très) rarement des causes. Pourtant, la malbouffe est un fléau. Mais les lobbys sont puissants.
Étude ici 👇
👉 Le sucre, le pire des poisons, sel et graisse. Les trois consommés excessivement c’est le tiercé gagnant de la mort.
Via Didier Maïsto https://x.com/DidierMaisto/status/1707629089031352616?s=20