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13 choses étonnantes qui arrivent à votre corps lorsque vous êtes sous anesthésie

DÉCOUVERTE :13 choses étonnantes qui arrivent à votre corps lorsque vous êtes sous anesthésie

Avez-vous déjà subi une intervention chirurgicale auparavant ? Si c’est le cas, vous avez probablement été mis sous anesthésie générale. Mais avez-vous déjà réfléchi à ce qui se passe réellement dans votre corps lorsque vous êtes sous anesthésie ?

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LES GRAINES GERMÉES

Il est possible de faire germer de très nombreuses graines que l’on peut regrouper en 4 familles :

Graines de légumes et de fines herbes : alfalfa, radis, carotte, brocoli, fenouil, basilic, persil…
Graines de céréales et pseudo céréales : blé, orge, seigle, épeautre, avoine, quinoa, sarrasin, millet…
Graines de légumineuses : lentilles, haricots mungo (soja vert), pois chiches, …
Graines d’oléagineuses : tournesol, sésame, amande, noisette…

Valeurs nutritives
Les graines germées sont très intéressantes nutritionnellement car très riches en micro-nutriments. Beaucoup plus que leurs versions non germées. On retrouve l’ensemble des vitamines A, C, D, E, K et un cocktail de vitamines B. Les minéraux sont également nombreux : magnésium, potassium, calcium, fer, zinc, sodium, phosphore et soufre. Enfin, elles contiennent des acides gras essentiels, des protéines, des fibres et des enzymes.

Bienfaits pour la santé
C’est aussi une très bonne source d’antioxydants et d’acides aminés bio-disponibles.
La richesse en fibres favorise le transit et facilite la digestion grâce aux enzymes digestives (lipases, protéases, amylases) libérées lors du processus de germination qui facilitent le travail de nos propres enzymes digestives à l’assimilation des lipides, des protéines et des sucres lents.
Très digestes et peu caloriques, elles ont un effet rassasiant grâce aux fibres.

Comment les consommer ?
En salade.
En tartine ou sandwich.
Dans les soupes et potages.
Hachées dans des omelettes, des jus de légumes, des gratins…
Mieux vaut consommer les graines germées crues, car elles conservent toutes leurs vitamines.

Attention, en dehors des graines des végétaux dont les feuilles sont toxiques, il faut aussi écarter celles de tomate, aubergine, poivron, soja jaune et rhubarbe.

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soulager les allergies saisonnières

Six remèdes de grand-mère pour soulager les allergies saisonnières

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 Des tisanes d’ortie ou de menthe poivrée
L’ortie en tisane : verser 2 cuillères à café dans 150 ml d’eau chaude laisser infuser 10 mn – consommer deux à trois fois par jour.
La menthe poivrée, concentrée en menthol, peut aider à éliminer, ou du moins diminuer la congestion nasale.

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 Des compresses d’eau froide sur les yeux pour calmer les démangeaisons et les gonflements oculaires.

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 Du sel et de l’eau chaude pour le nez, les dosettes de sérum physiologique permettent d’humidifier les muqueuses.

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 De l’estragon sur un morceau de pain

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 Du miel pour soulager les maux de gorge.

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 L’oignon, source de vitamine C et de quercétine agit comme un antihistaminique naturel et efficace contre les allergies printanières.

Des aliments à éviter : Les plats épicés et l’alcool.

(https://www.europe1.fr/sante/six-remedes-de-grand-mere-pour-soulager-les-allergies-saisonnieres-3622094)

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Quelles plantes médicinales cultiver et leurs usages



Quelles plantes médicinales cultiver et leurs usages
Quel point commun entre le coucou, le thym, le bleuet des champs et la mélisse ? Ces plantes ont chacune des vertus médicinales, que ce soit des propriétés antiseptiques, digestives, anti-inflammatoires ou anti-bactériennes. Petit tour d’horizon de ces plantes qui nous soignent.

Rien de tel que de soigner avec les plantes du jardin. Lassés des effets secondaires des traitements chimiques, on redécouvre les vertus des plantes de nos jardins au quotidien. Petit guide pour vous lancer.

Le thym (Thymus vulgaris)

Présent au jardin été comme hiver, le thym est une plante de plein soleil qui supporte bien la sécheresse et fleurit de mai à juillet. Apprécié en cuisine avec les ragoûts, les rôtis et les sauces dans un bouquet garni (à découvrir en vidéo ci-dessous), il soulage aussi une grande variété d’affections intestinales et respiratoires.

Comment l’utiliser ?
En bain de bouche lors de problèmes dentaires et de gingivites, pour ses propriétés antiseptiques. En tisane, il est réputé calmer la toux : laissez infuser 2 cuil. à café de plante séchée dans 20 cl l’eau bouillante 10 min.

Le genévrier commun (Juniperus communis)

Ce conifère persistant et résineux de 4 à 10 m de haut est réputé depuis l’Antiquité. On le brûlait dans les temples lors des rituels de purification et, durant tout le Moyen Age, il était employé en fumigation pour assainir l’atmosphère.

Comment l’utiliser ?
Une décoction de ses baies est indiquée en cas d’infection urinaire ou de troubles de la digestion : faites bouillir 2 g de baies séchées 20 min dans 15 cl d’eau. Elles sont aussi utiles pour traiter l’arthrite.

L’alchémille (Alchemilla vulgaris)

Facile à vivre, cette petite plante vivace se plaît partout, au soleil ou à mi-ombre, dans tout sol pourvu qu’il soit humide au printemps et frais l’été. Ses propriétés soulagent les règles douloureuses ou abondantes, et son action antifongique permet de lutter contre les mycoses génitales.

Comment l’utiliser ?
Consommez 2 à 3 tasses de tisane (3 g de feuilles séchées dans 25 cl d’eau bouillante) pour calmer vos maux de ventre ou stopper une diarrhée légère.

La primevère officinale (Primula veris)

Plus connue sous le nom de coucou, cette primevère sauvage fleurit dans les champs et sur les talus en avril-mai. On en fait de gros bouquets odorants, qui illuminent la maison. On l’emploie également pour ses propriétés sédatives et expectorantes.

Comment l’utiliser ?
En infusion, ses fleurs séchées et morcelées aident à mieux dormir, tandis que ses feuilles et racines possèdent des actions expectorante, émolliente et calmante, bienvenues lors de rhume, bronchite ou sinusite.

Le souci officinal (Calendula officinalis)

Plante de mi-ombre ou de plein soleil, le souci fleurit de mai à octobre dans des sols bien drainés, voire pauvres. Comestible, il peut agrémenter une salade, et ses fleurs possèdent des vertus astringentes. Son usage est reconnu pour traiter les inflammations de la peau, des muqueuses de la bouche et de la gorge.

Comment l’utiliser ?
En gargarisme, avec une infusion de 1 à 2 g de fleurs séchées pour 15 cl d’eau bouillante.

Le bleuet des champs (Centaurea cyanus)

Aussi appelée barbeau bleu, cette plante de plein soleil fleurit jusqu’en septembre, en terrain pauvre ou caillouteux. Ses fleurs comestibles décorent les salades et on en extrait également un colorant alimentaire. Le bleuet est connu pour ses propriétés anti-inflammatoires et astringentes (peau, yeux, muqueuses).

Comment l’utiliser ?
Laissez infuser 10 g de fleurs dans 25 cl d’eau bouillante 30 min. Imbibez des compresses du liquide refroidi, appliquez pour faire dégonfler les paupières.

La mélisse ( Melissa officinalis)

© Madeleine_Steinbach / Thinkstock107Marc67 Soins d’énergie vibratoire afin d’élever votre Lumière intérieur

Cette vivace herbacée pousse sur des terrains bien drainés et se récolte de juin à octobre. Si elle aromatise salades et soupes, elle est aussi réputée pour ses vertus antibactériennes et antivirales. Elle favorise la relaxation et le sommeil, et c’est une bonne alliée pour traiter les troubles digestifs.

Comment l’utiliser ?
En cas de nausées, consommez une infusion de mélisse, menthe poivrée, aneth et guimauve (3 cuil. à café de chaque plante pour 125 cl d’eau bouillante).

L’hysope (Hyssopus officinalis)

En fleur jusqu’en septembre, l’hysope pousse spontanément dans le Midi. Autrefois très présente dans les carrés de simples, elle est moins appréciée de nos jours. Grâce à ses vertus expectorante et fluidifiante, elle soigne la toux et les infections telles la rhinite ou la sinusite, et facilite aussi la digestion.

Comment l’utiliser ?
En cas de bronchite, préparez-vous une infusion avec 2 cuil. à café de sommités fleuries pour 1 tasse d’eau bouillante. Laissez infuser 15 min puis filtrez.

L’échinacée (Echinacea purpurea)

Cette marguerite d’automne rose foncé est une herbacée très mellifère, appréciant les sols drainés et le soleil. Les Amérindiens l’employaient déjà pour lutter contre les fièvres et un certain nombre d’infections. De nos jours, il est avéré qu’elle stimule nos défenses immunitaires. Elle est également bénéfique pour lutter contre les affections respiratoires.

Comment l’utiliser ?
Contre les infections, prenez-la en décoction : faites bouillir 1 g de racines dans l’équivalent d’1 tasse d’eau 10 min. Consommez jusqu’à 3 tasses/jour.

Le noyer (Juglans regia)

En octobre, c’est la pleine période de récolte. Un noyer dans son jardin, c’est la garantie de disposer de nutriments excellents pour la santé. La noix contient des oméga 3, qui contribuent à lutter contre le cholestérol ; elle est riche en mélatonine, antioxydante et régulatrice de l’équilibre nerveux, et aurait aussi un rôle dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.

Comment l’utiliser ?
Faites un mélange maison de noix, de noisettes et d’amandes, et consommez-en une petite poignée chaque jour pour compléter votre alimentation.

L’ail (Allium sativum)

Planté à l’automne, l’ail se développe au printemps suivant. Ses vertus sont connues depuis la plus haute Antiquité. Les Grecs anciens l’utilisaient contre l’asthme et comme vermifuge, et on lui reconnaît aujourd’hui des propriétés antibiotique, expectorante et anticoagulante.

Comment l’utiliser ?
Contre les parasites intestinaux, préparez une macération : laisser tremper 3 ou 4 gousses dans de l’eau ou du lait une nuit durant. A boire au matin.

Le romarin (Rosmarinus officinalis)

Très prisé en cuisine, c’est aussi un allié du jardinier qui le plante à proximité des choux, brocolis, carottes et oignons pour éloigner leurs ravageurs (insectes volants). Il est préconisé en cas de maux de tête, de problèmes digestifs ou de mauvaise circulation.

Comment l’utiliser ?
Pour faciliter la digestion, laissez infuser 2 g de feuilles de romarin séchées dans 15 cl d’eau bouillante pendant une dizaine de minutes. Vous en consommerez jusqu’à 2 ou 3 tasses par jour.105Marc67 Soins d’énergie vibratoire afin d’élever votre Lumière intérieur

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L’utilisation de l’édulcorant « aspartame » est préoccupante

L’utilisation de l’édulcorant « aspartame » est préoccupante, car elle modifie la structure du cerveau et peut entraîner des troubles mentaux. Ces changements peuvent persister pendant deux générations. « L’aspartame » est largement utilisé dans les sodas, les chewing-gums et les chocolats sans sucre. Fait intéressant, cet édulcorant a été découvert en 1965 par James M. Schlatter, un chimiste travaillant pour GD Searle & Company, une filiale de Pfizer.

Cela ne semble pas être une coïncidence …