Attention :
Message réservé aux femmes de plus de 40 ans qui souffrent en silence
Si vous êtes une femme de plus de 40 ans… Vous commencez peut-être à ressentir certains signes tels que des bouffées de chaleur, des insomnies…Ou des règles plus abondantes ou plus douloureuses (si vous les avez encore)…
Peut-être même avez-vous aussi remarqué que votre humeur est parfois instable, sans raison extérieure…Il se peut que vous ayez pris du poids…
Vous avez peut-être aussi noté une baisse de votre libido…, Une fatigue intense…, Des maux de tête…, Des sueurs nocturnes…, Une perte de cheveux…
Si vous vous reconnaissez dans ce portrait ?
Il est fort probable que vous soyez déjà entrée dans la préménopause, voire la ménopause elle-même.
Et je suis au regret de vous dire que les choses ne vont malheureusement pas s’améliorer à court terme…
Car les symptômes de la ménopause durent en moyenne 7 ans pour les Européennes. (1)
Ils peuvent même s’étendre jusqu’à dix ans dans certains cas… Et ce n’est pas tout : beaucoup ignorent que la ménopause peut aussi avoir des conséquences beaucoup plus graves sur la santé.
De récentes études ont montré une corrélation évidente entre la ménopause et des pathologies telles que l’ostéoporose ou encore le c a n c e r du sein ou de l’endomètre. (2,3)
Le gros problème avec la ménopause, c’est qu’il n’est pratiquement pas possible de trouver des informations fiables à son sujet
Or, il existe des solutions naturelles, simples et efficaces pour équilibrer vos hormones. Et donc mieux vivre cette étape importante de votre vie de femme.
Je vais d’ailleurs vous partager dans ce message un rituel santé et bien-être qui a déjà aidé plus de 24.697 françaises à passer ce cap en douceur…En se sentant bien dans leur peau… En pleine forme… et débordantes d’énergie positive.
Et attention : je ne suis pas en train de vous parler du genre d’informations bidons que vous pouvez lire dans la presse féminine de bas étage. Ou sur des sites web racoleurs.
Car s’il suffisait de manger des pois chiches et du soja, ou de boire des tisanes de sauge…
La ménopause ne serait plus aujourd’hui cette horrible traversée du désert que des millions de femmes vivent comme un calvaire quotidien.
Et ce n’est pas le genre d’informations que j’ai choisi de vous partager aujourd’hui.
Dans ce post, je vais vous expliquer le secret des Japonaises pour équilibrer les hormones qui « déraillent » à la ménopause
Car, oui il se trouve que les Japonaises ont un secret ancestral qui les aide à équilibrer leurs hormones et minimiser les symptômes de la ménopause.
D’ailleurs, peut-être l’ignorez-vous, mais le mot « ménopause » n’existe pas en tant que tel en Japonais. Ils utilisent un autre mot : « konenki », qui se traduit par « changement de la vie ».
Et cette absence de mot spécifique ne traduit pas une faiblesse de la langue japonaise, qui est par ailleurs extrêmement riche. Non.
Une statistique permet d’ailleurs de l’expliquer très simplement : Une chercheuse de l’université de Montréal, Margaret Lock a étudié la ménopause chez les femmes japonaises. (4)
Et les données qu’elle a analysées lui ont permis de faire un constat surprenant : les Japonaises ne sont pratiquement pas touchées par les symptômes de la ménopause.
En Europe, 75 % des femmes en âge d’être ménopausées ressentent des symptômes comme les bouffées de chaleur et des sueurs nocturnes.
Alors que seulement 10 % des Japonaises ressentent ces symptômes.
Pourquoi ?
C’est grâce à leur alimentation que les Japonaises arrivent à « passer à travers » la ménopause sans trop de dégâts…
Et c’est en partant de ce constat que nous avons pu mettre au point le rituel bien-être qui va vous permettre d’équilibrer vos hormones.
Cette routine matinale ne vous prendra pas plus d’une minute chaque matin…
Et elle vous permettra d’équilibrer toutes les hormones qui vous gâchent la vie au quotidien.
Grâce à ce rituel, vous pourrez dire adieu aux bouffées de chaleur, aux sueurs nocturnes, aux règles trop abondantes, à la fatigue, au brouillard mental…
Ainsi qu’aux kilos superflus qui s’installent quasi systématiquement durant la ménopause…
Et surtout… vous diminuerez significativement le risque de désagréments et problèmes liés à des dysfonctionnements hormonaux qui s’installent dans la durée.
C’est d’autant plus important lorsqu’on sait le peu d’importance que la médecine conventionnelle accorde à la santé hormonale féminine…
« Mais non, madame, il n’y a pas de quoi vous inquiéter… C’est dans votre tête… »
Ces mots sont tellement choquants que je peine à les écrire.
Comment est-il possible qu’en 2022 certains médecins les prononcent encore ?
Et pourtant, vous êtes bien trop nombreuses à les entendre régulièrement.
Regardez le genre de courrier que je reçois chaque semaine de femmes en détresse :
« Mon cycle menstruel est aléatoire : il commence de plus en plus tard. J’ai ma peau est toute sèche. Je dors mal et je sue énormément la nuit… Même en hiver » (Stéphanie, 53 ans, de Rouen)
« J’avais refusé un traitement hormonal. J’étais totalement contre. Mais j’en avais tellement marre d’avoir mes règles presqu’en permanence que j’ai fini par accepter. Ma gynéco m’a dit de faire un scanner tous les 2 ans pour le c a n c e r du sein… Ça fait peur ! » (Pauline, 49 ans, de Marseille)
« A certains moments, il y a comme un chauffage central qui s’allume dans mon corps. J’ai chaud, mais j’ai chaud comme on peut même pas imaginer… En quelques minutes, je suis complètement trempée ! Et quand il fait froid, c’est encore plus désagréable, cette différence de température entre l’intérieur et l’extérieur de mon corps… » (Nathalie, de Neuilly-sur-Seine)
« Il y a des jours où j’ai l’impression de devenir dingue… C’est comme si mon cerveau tournait au ralenti… Le brouillard… C’est vraiment ça… Horrible… » (Patricia, 58 ans, de Lille)
« A certains moments, la colère monte et je ne comprends pas pourquoi je pète les plombs… Après je m’en veux et je pleure… C’est vrai que ce n’est pas facile avec ces douleurs au bas-ventre. C’est comme une épée qui me transperce » (Martine, 44 ans, de Toulouse)
La place me manque dans ce message, mais je pourrais remplir un livre entier avec tous ces témoignages qui montrent la réalité crue de la ménopause…
Et pour ne rien arranger, si vous vous tournez vers votre médecin…
Il pourrait bien vous prescrire un remède encore pire que le mal !
Les Traitements Hormonaux de Substitution : la grande arnaque des labos américains…
Pendant des décennies, les THS ont été présentés comme la panacée. On sait aujourd’hui qu’il n’en est rien. (5) D’abord parce qu’ils ne sont que partiellement efficaces (ils masquent seulement les symptômes dans la plupart des cas). Et ensuite parce qu’ils sont extrêmement néfastes pour la santé.
Les THS augmentent en effet de manière critique les risques de développer des maladies cardiovasculaires et certains cancers… (6)
C’est la raison pour laquelle de nombreuses femmes préfèrent les éviter.
Et de nombreux médecins sont également de plus en plus réticents à les prescrire… Mais sans proposer de réelle alternative.
Pourtant, il existe des solutions naturelles pour équilibrer vos hormones et vivre une ménopause beaucoup plus tranquille…
Et je vais vous révéler ces solutions dans un instant…
Notamment le secret des Japonaises dont je vous ai touché un mot il y a quelques lignes…
Je vais vous donner pas moins de 13 plantes et nutriments qui ont TOUS des effets bénéfiques sur les hormones qui dysfonctionnent lors de la ménopause et dès la préménopause.
Car, vous le savez, c’est une violente tempête hormonale qui secoue votre corps et constitue l’une des causes principales de tous ces symptômes désagréables qui vous rendent la vie impossible
Pour être exact, c’est une réaction en chaîne qui se déclenche dans votre organisme au moment où votre production d’œstrogènes se met à chuter.
Et cette réaction impacte non seulement plusieurs autres hormones…
Mais aussi votre métabolisme, le renouvellement des cellules de votre peau et de vos muqueuses, la production de calcium pour renforcer vos os, votre libido, vos différents microbiotes (intestinal, vésical, vaginal… ) et, bien sûr, votre humeur.
C’est donc une véritable cascade de domino qui bouleverse de fond en comble la manière dont fonctionne votre corps.
Et il faut savoir que 5 hormones sont particulièrement impactées lors de la ménopause…
Ces 5 hormones sont un peu comme les premiers dominos qui entraînent la chute de tous les autres.
Ce qui signifie que, si vous parvenez à garder ces 5 hormones à l’équilibre…
Vous pourrez minimiser, voire même éviter, la plupart des symptômes désagréables de la ménopause.
La première hormone dont la production est perturbée par la ménopause est l’œstrogène
Et ce n’est pas une surprise car vous n’ignorez sans doute pas qu’il s’agit de la principale hormone sexuelle féminine.
Tout d’abord, il faut savoir que la ménopause est déclenchée par l’épuisement de la réserve de follicules ovariens. Ces derniers sont des petits sacs contenant chacun un ovocyte (ovule immature) et ils sont stockés dans les ovaires situés de chaque côté de l’utérus.
Il faut savoir que chaque petite fille nait avec un nombre fini de follicules ovariens. Et ce nombre diminue logiquement tout au long de sa vie. Lorsque le nombre de follicules ovariens en réserve descend en dessous de 1000, la ménopause se déclenche. Et la production d’œstrogène chute.
C’est cette chute de la production d’œstrogène qui entraine des symptômes tels que les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, les palpitations… (7)
Cela s’explique par le fait que les œstrogènes jouent un rôle dans le mécanisme par lequel l’organisme maintient sa température constante. Leur absence perturbe donc ce processus. C’est un peu comme si le thermostat du chauffage de votre maison était complètement déréglé. Ces bouffées de chaleur peuvent persister pendant plus de 5 à 10 ans…
Sauf si vous arrivez à booster votre production d’œstrogène (et je vais vous expliquer dans un instant comment y parvenir de manière naturelle).
C’est aussi ce déficit en œstrogènes qui va accentuer le vieillissement de votre peau, l’assécher, et accentuer vos rides…
Les hormones sexuelles ont en effet la capacité d’agir sur des régions cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions et du comportement. Troubles de l’émotivité, anxiété, irritabilité, fatigue ou encore dépression sont donc également des symptômes…
Ceci nous amène d’ailleurs directement au 2e déséquilibre hormonal causé par la ménopause.
Car, pour compenser la baisse d’œstrogènes, l’organisme augmente la production de cortisol, l’hormone du stress. (8)
Les symptômes de l’excès de cortisol sont bien connus : fatigue, anxiété, irritabilité, troubles du sommeil et de la concentration, dépression…
Mais heureusement, il existe aussi des solutions naturelles pour ramener la production de cortisol à des niveaux sains. Et permettre ainsi à chaque femme de vivre sa ménopause beaucoup plus sereinement.
Mais avant d’aborder ce point, laissez-moi vous parler du 3e déséquilibre hormonal qui se développe à la ménopause.
Conjuguée à l’augmentation du cortisol, la baisse des œstrogènes a un impact direct sur votre thyroïde, qui s’épuise peu à peu (9)
Avec pour conséquence une diminution importante de la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4.
Or, ces hormones ont un rôle extrêmement important dans le fonctionnement de votre corps. Et notamment de votre métabolisme.
En effet, lorsque votre thyroïde s’épuise et ne produit plus assez d’hormones T3 et T4, votre métabolisme ralentit. Et votre corps se met automatiquement à stocker la graisse au lieu de la brûler.
C’est donc cette baisse des hormones thyroïdiennes qui explique notamment la prise de poids qu’on peut observer chez de nombreuses femmes à la ménopause.
Cette baisse d’activité de la thyroïde se manifeste aussi par une sensation de froid persistante, une perturbation du rythme cardiaque, ou des troubles cognitifs (baisse de concentration, perte de mémoire, brouillard mental…)
La baisse de production des hormones thyroïdiennes et la prise de poids qui l’accompagne souvent induisent 2 autres dysfonctionnements hormonaux : la baisse de leptine et la résistance à l’insuline (10,11)
La leptine est connue pour être l’hormone de la satiété. Lorsque vous ne produisez plus assez de leptine, vous avez forcément tendance à avoir « trop d’appétit » et donc manger de trop grandes quantités. C’est aussi ce déficit de leptine qui explique les fringales dont sont victimes de nombreuses femmes durant la ménopause.
La résistance à l’insuline, elle, est un problème encore plus grave…Car elle peut mener rapidement à de graves troubles métaboliques ou au diabète de type 2. (13)
Il est donc également très important de réguler la production de leptine et d’insuline dès les premiers symptômes de la préménopause.
Non seulement pour éviter la prise de poids hormonal, mais aussi pour se prémunir contre de graves problèmes de santé. (14)
Vous l’aurez sans doute compris, les 5 hormones qu’il faut absolument réguler pour limiter les symptômes de la ménopause sont : l’œstrogène, le cortisol, les hormones thyroïdiennes, la leptine et l’insuline
Sources
[1] https://www.planetesante.ch/Magazine/Gynecologie/Menopause/Le-temps-de-la-menopause
[2] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4604668/
[3] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2788287
[4] Lock M. Ambiguities of aging: Japanese experience and perceptions of menopause. Cult Med Psychiatry. 1986 Mar;10(1):23-46.
[5] https://www.nhs.uk/conditions/hormone-replacement-therapy-hrt/risks/
[6] https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/menopause/articles/8455-menopause-ths-questions.htm
[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2717878/
[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2749064/
[9] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3113168/
[10] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9847982/
[11] https://www.fertstert.org/article/S0015-0282(06)04692-9/pdf
[12] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9847982/
[13] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3314346/
[14] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27748199/
[16] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3048776/
[17] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19016404/
[18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5628357/
[19] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23362734/
[20] https://www.nhc.com/bladderwrack
[21] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3687637/
[22] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3139337
[23] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25788177/
[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24390903/
[25] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19254366/