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Oestrogénique = oestrogène = hormones féminines

La majorité des femmes en âge de procréer en 2023 ont recours à un moyen contraceptif (implant, stérilet, pilule, etc) = encore plus d’hormones féminines.

Le tout excrété dans l’urine > se retrouve ultimement dans les cours d’eau. Il y a de plus en plus de poissons femelles, coïncidence?

Ne vous demandez pas pourquoi la constitution et la morphologie des hommes et des femmes changent avec le temps. [Ils] tentent d’affaiblir les hommes et bousiller leurs hormones, ainsi que celles des femmes. [Ils] tentent de nous rendre stériles à notre insu. De plus en plus de jeunes couples vont en procréation assistée ou doivent passer des tests pour investiguer des problèmes de fertilité.

Une société avec des hommes de constitution plus « faible » ou « moins virile » est historiquement voué à s’écrouler bien plus vite.

[Ils] ne veulent pas vous voir en santé ni forts.

t.me/LesPatriQts

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ANDOUILLETTES EN COCOTTE

Pour 4 personnes

Ingrédients :

4 Andouillettes

4 tranches de jambon italien

1 oignon

1 boite de champignon

1 verre de vin blanc sec

1 grosse cuillère de moutarde

huile d’olive, persil, poivre et sel aux herbes de provence

1)Dans une cocotte faites revenir à feu vif dans l’huile d’olive : l’oignon émincé finement, les andouillettes coupées en morceaux, le jambon italien découpé en lanières, les champignons, salez, poivrez et laissez cuire jusqu’à coloration en remuant délicatement

2)Ajoutez le vin blanc, la moutarde et laissez mitonner à feu modéré pendant 15 mn

3)Rectifiez l’assaisonnement et poudrez de persil haché au moment de servir

4)Servez accompagné de pâtes nature

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Croq’ champignon

2 tranches de pain de mie

1 petite tomate

2 belles feuilles de laitue

1 gros champignon de paris

30g de gouda rapé

20g de beurre à 41%

cuisifine

sel, poivre

Lavez soigneusement le champignon, coupez le bout du pied et découpez le reste du champignon en lamelles.

Faites les sautez rapidement dans une poêle anti adhésive vaporisée de cuisifine pour qu’elle soit bien dorées. Salez poivrez.

Préchauffez ensuite votre four sur thermostat 8 (240°C)

Lavez et essuyez la tomate, coupez la en fines rondelles.

Beurrez les deux tranches de pain de mie. Sur l’une d’elles, disposez les rondelles de tomates, salez poivrez et couvrez de lamelles de champignons. Parsemez d’un peu de fromage rapé, recouvrez avec l’autre tranche de pain de mie.

Répartissez le reste de fromage sur le croque, faites le dorer au four (5 mn) et servez bien chaud accompagné des feuilles de laitue disposée en garniture.

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MINI SANDWICHES

Tartinez généreusement l’intérieur de 2 tranches de pain de mie avec du samos et parsemez de fines herbes coupées. Refermez, tartinez la face extérieure de samos et coupez le sandwich en 4 pour former 4 triangles.

Superposez les, faites les tenir avec un pique de bois décorée d’une feuille de persil

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Articulations : et si vous manquiez tout simplement de collagène ?

  • votre peau a perdu sa fermeté, son élasticité, qu’elle est mal hydratée, ridée, altérée ;
  • vos cheveux et vos ongles paraissent fragilisés ;
  • vos os sont fragilisés, vos tendons et ligaments ont perdu résistance et souplesse, vos dents déchaussées, vos cartilages usés, votre inconfort articulaire de plus en plus marqué

Alors, vous risquez aussi :

  • d’avoir vos vaisseaux sanguins sclérosés, altérés dans leur structure, ayant perdu leur élasticité et présentant des micro-fissures ;
  • de développer une des maladies inflammatoires et dégénératives associées à ces phénomènes d’altération : arthrose (cartilage endommagé provoquant des douleurs et des gonflements articulaires), ostéoporose (os de verre).

D’habitude, on attribue ces altérations corporelles au vieillissement inéluctable.

Pourtant ce n’est pas une fatalité. Ces altérations ne sont pas inéluctables. En réalité, il est probable qu’elles soient toutes liées à un seul ingrédient manquant : le collagène.

La protéine indispensable

Le collagène est une famille de protéines parmi les plus abondantes dans le corps. Avec l’âge, la biosynthèse de collagène s’affaiblit et le déficit se ressent fortement dans les articulations, les tissus et les os.

En effet, à partir de 25 ans, l’organisme commence à perdre son collagène. La synthèse de celui-ci diminue de 1,5 % par an, en lien avec des facteurs génétiques et environnementaux. Ainsi, à 40 ans, le niveau des réserves de collagène corporel peut être réduit de 30 %, à 50 ans de 45 %, et à 60 ans de 60 %.

La perte est manifeste quand le collagène régénéré n’est plus le même, ne reproduit plus le modèle idéal. Le stock diminue de plus en plus si rien n’est fait pour le reconstituer ou l’entretenir. Il est alors urgent d’en compenser les pertes.

Le collagène sert à maintenir les éléments cellulaires ensemble. Il intervient dans la formation des tissus et organes, y compris :

  • les tendons ;
  • les ligaments ;
  • les cartilages ;
  • la peau ;
  • les ongles ;
  • les dents ;
  • les cheveux ;
  • les vaisseaux sanguins ;
  • les gencives ;
  • les os ;
  • les organes internes ;
  • et tous les « tissus conjonctifs », à savoir ceux sont les tissus qui unissent, soutiennent, protègent et isolent les organes du corps.

Par exemple, le collagène dans vos os et vos dents se lie aux sels minéraux – calcium et phosphate – pour former un matériau composite.

Le collagène est donc un ingrédient majeur pour conserver la cohésion, l’élasticité et la fermeté du corps. Il permet aussi de régénérer les tissus du corps. Il vient contrer les signes habituels du vieillissement.

Deux nouvelles épidémies : l’arthrose et l’ostéoporose

En l’absence de collagène, les phénomènes de dégénérescence tendent à s’intensifier. Or on observe une hausse de l’incidence de l’ostéoporose et de l’arthrose, même chez les jeunes.

Comment en est-on arrivé là ? Vous trouverez la réponse plus bas.

En principe, le corps produit son propre collagène pourvu qu’il ait les ingrédients à disposition : acides aminés, silicium, vitamines et autres oligo-éléments. Avec l’âge, la synthèse de collagène se complique et demande plus d’effort. Même en fournissant à votre corps les vitamines et oligo-éléments nécessaires des fruits et légumes, vous risquez de manquer de collagène.

Il faut donner un coup de pouce à votre organisme en lui apportant du collagène bio-disponible et assimilable.

Comment notre alimentation est devenue pauvre en collagène

Pour régénérer vos tissus, il faut sélectionner des aliments riches en collagène. Ce n’est pas un bol de riz complet, de la salade ou des haricots verts qui suffiront à refaire vos stocks. Vous trouverez plus de collagène dans un hot-dog ou une entrecôte frite !

Mais les plats vraiment riches en collagènes sont tombés en désuétude pour la plupart. Ils ne correspondent plus aux standards de l’alimentation équilibrée.

C’est la cuisine riche et consistante des plats en gelée. La gélatine naturelle est une forme de collagène. Aujourd’hui, tous les plats réputés riches en collagène sont consommés de façon exceptionnelle : l’os à moelle, le bouillon, les poissons entiers, la tête de veau, le pied de cochon, la poule au pot, les tripes, l’andouillette…

Les jeunes générations sont devenues douillettes : plus question de manger le gras, le cartilage, la peau et les morceaux de viande coriaces qui demandent un tant soit peu à être mastiqués.

Quant à récupérer les os et la carcasse d’un poulet pour en faire un bouillon afin d’en extraire tous les nutriments précieux, c’est pour eux une attitude de crève-la-faim à laquelle ils refusent de s’abaisser. « Ne te fatigue pas papa, j’ai des pizzas au congélateur ».

Difficiles à manger, trop riches, trop lourds, hyper-caloriques, pénibles à digérer, les plats riches en collagène appartiennent à une autre époque : celle du travail physique aux champs et à la mine, celle où l’on marchait des heures à pied pour se déplacer, celle des maisons modestement chauffées. Une époque où le mode de vie intense nécessitait de manger beaucoup et d’exploiter les aliments jusqu’au bout pour reconstituer ses forces.

La solution à cette révolution alimentaire

L’impact de ce changement de régime sur la réserve de collagène dans le corps est dramatique. Ces nombreux cas d’ostéoporose et d’arthrose observés à tout âge ne surviennent pas par hasard. De même le vieillissement prématuré de la peau et des vaisseaux sanguins nécessite d’être inversé. Il faut que nos populations restaurent urgemment leurs apports en collagène.

Une solution fiable consiste à prendre un complément pour garantir votre apport en collagène.

L’utilisation de gélatine contre les problèmes articulaires et les maladies inflammatoires dégénératives est ancienne. De la médecine chinoise à Hildegarde de Bingen au XIIe siècle, on retrouve des remèdes à base de gélatine pour soigner les douleurs articulaires, améliorer la circulation sanguine, stopper les hémorragies [1].

La forme optimale du collagène

Afin de rendre le collagène plus disponible et assimilable, les bons laboratoires proposent un hydrolysat de collagène de poisson. Parmi les formes de collagène naturel, vous avez classiquement le choix entre la gélatine de bœuf (collagène bovin), de porc (collagène porcin) ou de poisson.

Une étude in vitro effectuée par l’Institut national des sciences appliquées de Toulouse a comparé le potentiel de digestibilité et d’assimilation des différents collagènes. Il a été mis en évidence que le potentiel du collagène de poisson est supérieur à celui du collagène bovin et porcin.

Quant à la forme de « l’hydrolysat » de collagène, elle a l’immense avantage de mieux franchir la barrière intestinale pour être assimilée par le corps [2]. A l’inverse, sous sa forme classique, le corps peine à absorber le collagène, surtout chez les personnes âgées souffrant d’arthrose.

Bénéfices de l’hydrolysat de collagène de poisson

L’hydrolysat de collagène issu de peau de poisson agit de différentes manières sur les tissus du corps.

  • Confort des articulations

Le collagène est présent dans les cartilages, os, tendons et ligaments qui sont des tissus très sollicités et cruciaux au niveau des articulations. L’hydrolysat de collagène apporte les peptides appropriés permettant leur entretien et leur régénération.

On pense que le collagène de poisson fournit les éléments indispensables permettant de renforcer les tissus ligamentaires, voire osseux et tendineux, réduisant de ce fait les tendinites, arthrites et autres inflammations.

Une étude de 2009 a mis en évidence que la prise quotidienne de 10 grammes d’hydrolysat de collagène pendant au moins 6 mois diminuait les symptômes de l’arthrose, réduisant la douleur et l’inconfort, et améliorant la souplesse par rapport à un placebo [3].

  • Densité osseuse

On observe un intérêt croissant pour l’utilisation d’un hydrolysat de collagène dans le traitement de l’ostéoporose. Rappelons que la trame osseuse est constituée de fibres de collagène.

Lors d’un essai clinique, 108 femmes ménopausées souffrant d’ostéoporose ont reçu 10 grammes de collagène pendant 24 semaines. Le collagène a renforcé et prolongé l’effet de l’hormone prescrite pour contrer la perte osseuse, la calcitonine [4].

Une étude japonaise a démontré que l’administration de collagène par voie orale à des rates sans ovaires augmentait la densité osseuse mesurée au niveau du tibia [5].

Récemment, une équipe de chercheurs japonais a observé que la consommation de gélatine augmentait la densité osseuse chez les animaux [6].

Pour que l’os puisse se renforcer, il est nécessaire que la trame protéique de collagène soit abondante.

L’apport d’hydrolysat de collagène de poisson remédie au risque de dégradation du tissu osseux due à la dégénérescence de la microstructure de l’os (réduction de la masse osseuse, détérioration architecturale du tissu osseux) pouvant mener à des maladies telles que l’ostéoporose et, dans une moindre mesure, l’arthrose.

  • Santé de la peau

La peau étant formée à 80 % de collagène, elle est la première à subir les effets de la perte de l’organisme en collagène.

L’amélioration de l’hydratation de la peau a été démontrée par une étude clinique conduite en double aveugle, avec placebo, et randomisée.

Cette étude clinique réalisée par le CPCAD (Centre de pharmacie clinique appliqué à la dermatologie du CHU Hôpital Saint-Roch de Nice) a été effectuée en utilisant un hydrolysat de collagène issu de peau de poisson. Elle a mis en évidence un gain en terme d’élasticité, d’hydratation, de relief de la peau.

Après 12 semaines de consommation quotidienne de l’hydrolysat de collagène, l’hydratation de la peau avait progressé de 22,8 %. Et l’élasticité s’était améliorée de 27,2 % [6].

Le collagène semble agir sur la peau comme un traitement anti-âge.

  • Entretien et régénération des vaisseaux sanguins

70 % des accidents cardiovasculaires seraient dus à la sclérose des artères. Les travaux et les ouvrages du Dr de Lorgeril, du Pr Even et de Thierry Souccar ont déjà abordé ce thème. Mais nous manquons d’études cliniques pour confirmer ces observations médicales.

Le vieillissement et l’obstruction des artères est un processus long amorcé par l’oxydation et l’inflammation silencieuse.

Il est indispensable d’apporter les éléments qui favorisent la réparation des microlésions qui se produisent dans les vaisseaux. Elles sont hautement impliquées dans les accidents circulatoires.

Les parois des vaisseaux sanguins sont riches en collagène. Avec l’âge le collagène se raréfie, ce qui entraîne une diminution de l’élasticité et de la motricité des vaisseaux.

Des vaisseaux plus rigides vont freiner la circulation du sang. Puis des dépôts d’athérome, des déchets toxiques et autres polluants risquent de s’accumuler sur la paroi. Cela réduit le diamètre des artères et des problèmes cardiovasculaires peuvent faire surface : infarctus du myocarde, angine de poitrine, artère coronaire bouchée, athérosclérose, manque d’oxygénation, etc.

Dans un contexte préventif, l’apport régulier d’hydrolysat de collagène donne aux vaisseaux sanguins les éléments leur permettant de se régénérer pour conserver leur élasticité.

L’hydrolysat de collagène est là pour vous soutenir au quotidien dans la lutte contre le vieillissement accéléré des tissus articulaires et sanguins.

N’oubliez pas de faire le plein d’antioxydants !

Lorsque vous cherchez à régénérer votre collagène, il est important d’éliminer les radicaux libres de votre corps grâce à des antioxydants. Si vous oubliez cette étape, vous risquez d’anéantir vos efforts.

Entre mauvaise alimentation, stress et pollution, votre corps produit sans cesse des radicaux libres. Ces substances accélèrent l’oxydation du corps, c’est-à-dire que vous vieillissez prématurément. Les radicaux libres comme l’oxygène singulet, le radical hydroxyle, et l’anion superoxyde freinent le métabolisme du collagène. Ces radicaux libres bloquent la synthèse du pro-collagène, provoquent la désorganisation, et la destruction du collagène.

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5 plantes qui éloignent les rats et les souris

Tout comme les insectes, les rongeurs peuvent être sensibles à certaines odeurs. Disposer les plantes suivantes dans votre jardin ou votre maison vous permettra de les éloigner sans utiliser de pièges ou de produits chimiques. 

La menthe

En plus de son utilisation en cuisine, l’odeur de la menthe est idéale pour faire fuir naturellement les souris et les rats. Toutes les variétés peuvent être utilisées en répulsif, qu’elles soient installées en pleine terre ou en pot. La menthe est idéale pour prévenir l’invasion naturellement au jardin comme à l’intérieur de votre maison.

L’euphorbe des jardins

Aussi appelée euphorbe épurge, cette plante herbacée est très répandue. Elle est appréciée des jardiniers pour sa floraison survenant entre mai et juillet. Mais c’est aussi une plante qui éloigne naturellement les rats, les souris et même les taupes si celles-ci ont envahi votre jardin.

L’incarvillée

L’incarvillea est une plante décorative produisant de très belles fleurs roses ou blanches. En plus d’éloigner les rats et les souris grâce à son parfum, elle est idéale pour apporter une allure exotique à votre jardin. Facile d’entretien, elle s’adapte également à tous les climats et peut être plantée en plein soleil.

L’eucalyptus

Très décoratif en pleine terre comme en pot, l’eucalyptus dégage un parfum qui incommode de nombreux rongeurs. Afin d’augmenter son efficacité, commencez par en planter un dans votre jardin puis récupérez quelques feuilles. Disposez ensuite de petits tas de feuilles où vous souhaitez pour tenir les rongeurs hors de portée de vos cultures.

La couronne impériale

Contrairement aux autres plantes, ce n’est pas la fleur de la couronne impériale qui éloigne les rongeurs, mais son oignon. Une fois en terre, il dégage un parfum fort qui tient éloignés les souris, les campagnols ainsi que les mulots.

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Le secret des Japonaises pour éviter la tempête hormonale de la ménopause


Attention :

Message réservé aux femmes de plus de 40 ans qui souffrent en silence


Si vous êtes une femme de plus de 40 ans… Vous commencez peut-être à ressentir certains signes tels que des bouffées de chaleur, des insomnies…Ou des règles plus abondantes ou plus douloureuses (si vous les avez encore)… 

Peut-être même avez-vous aussi remarqué que votre humeur est parfois instable, sans raison extérieure…Il se peut que vous ayez pris du poids…

Vous avez peut-être aussi noté une baisse de votre libido…, Une fatigue intense…, Des maux de tête…, Des sueurs nocturnes…, Une perte de cheveux…

Si vous vous reconnaissez dans ce portrait ?

Il est fort probable que vous soyez déjà entrée dans la préménopause, voire la ménopause elle-même.

Et je suis au regret de vous dire que les choses ne vont malheureusement pas s’améliorer à court terme…

Car les symptômes de la ménopause durent en moyenne 7 ans pour les Européennes. (1) 

Ils peuvent même s’étendre jusqu’à dix ans dans certains cas… Et ce n’est pas tout : beaucoup ignorent que la ménopause peut aussi avoir des conséquences beaucoup plus graves sur la santé.

De récentes études ont montré une corrélation évidente entre la ménopause et des pathologies telles que l’ostéoporose ou encore le c a n c e r du sein ou de l’endomètre. (2,3)

Le gros problème avec la ménopause, c’est qu’il n’est pratiquement pas possible de trouver des informations fiables à son sujet

Or, il existe des solutions naturelles, simples et efficaces pour équilibrer vos hormones. Et donc mieux vivre cette étape importante de votre vie de femme.

Je vais d’ailleurs vous partager dans ce message un rituel santé et bien-être qui a déjà aidé plus de 24.697 françaises à passer ce cap en douceur…En se sentant bien dans leur peau… En pleine forme… et débordantes d’énergie positive.

Et attention : je ne suis pas en train de vous parler du genre d’informations bidons que vous pouvez lire dans la presse féminine de bas étage. Ou sur des sites web racoleurs.

Car s’il suffisait de manger des pois chiches et du soja, ou de boire des tisanes de sauge…

La ménopause ne serait plus aujourd’hui cette horrible traversée du désert que des millions de femmes vivent comme un calvaire quotidien.

Et ce n’est pas le genre d’informations que j’ai choisi de vous partager aujourd’hui.

Dans ce post, je vais vous expliquer le secret des Japonaises pour équilibrer les hormones qui « déraillent » à la ménopause

Car, oui il se trouve que les Japonaises ont un secret ancestral qui les aide à équilibrer leurs hormones et minimiser les symptômes de la ménopause.

D’ailleurs, peut-être l’ignorez-vous, mais le mot « ménopause » n’existe pas en tant que tel en Japonais. Ils utilisent un autre mot : « konenki », qui se traduit par « changement de la vie ».

Et cette absence de mot spécifique ne traduit pas une faiblesse de la langue japonaise, qui est par ailleurs extrêmement riche. Non.

Une statistique permet d’ailleurs de l’expliquer très simplement : Une chercheuse de l’université de Montréal, Margaret Lock a étudié la ménopause chez les femmes japonaises. (4)

Et les données qu’elle a analysées lui ont permis de faire un constat surprenant : les Japonaises ne sont pratiquement pas touchées par les symptômes de la ménopause.

En Europe, 75 % des femmes en âge d’être ménopausées ressentent des symptômes comme les bouffées de chaleur et des sueurs nocturnes.

Alors que seulement 10 % des Japonaises ressentent ces symptômes.

Pourquoi ?

C’est grâce à leur alimentation que les Japonaises arrivent à « passer à travers » la ménopause sans trop de dégâts…

Et c’est en partant de ce constat que nous avons pu mettre au point le rituel bien-être qui va vous permettre d’équilibrer vos hormones.

Cette routine matinale ne vous prendra pas plus d’une minute chaque matin…

Et elle vous permettra d’équilibrer toutes les hormones qui vous gâchent la vie au quotidien.


Grâce à ce rituel, vous pourrez dire adieu aux bouffées de chaleur, aux sueurs nocturnes, aux règles trop abondantes, à la fatigue, au brouillard mental…

Ainsi qu’aux kilos superflus qui s’installent quasi systématiquement durant la ménopause…

Et surtout… vous diminuerez significativement le risque de désagréments et problèmes liés à des dysfonctionnements hormonaux qui s’installent dans la durée.

C’est d’autant plus important lorsqu’on sait le peu d’importance que la médecine conventionnelle accorde à la santé hormonale féminine…

« Mais non, madame, il n’y a pas de quoi vous inquiéter… C’est dans votre tête… »

Ces mots sont tellement choquants que je peine à les écrire.

Comment est-il possible qu’en 2022 certains médecins les prononcent encore ?

Et pourtant, vous êtes bien trop nombreuses à les entendre régulièrement.

Regardez le genre de courrier que je reçois chaque semaine de femmes en détresse :

« Mon cycle menstruel est aléatoire : il commence de plus en plus tard. J’ai ma peau est toute sèche. Je dors mal et je sue énormément la nuit… Même en hiver » (Stéphanie, 53 ans, de Rouen)

« J’avais refusé un traitement hormonal. J’étais totalement contre. Mais j’en avais tellement marre d’avoir mes règles presqu’en permanence que j’ai fini par accepter. Ma gynéco m’a dit de faire un scanner tous les 2 ans pour le c a n c e r du sein… Ça fait peur ! » (Pauline, 49 ans, de Marseille)

« A certains moments, il y a comme un chauffage central qui s’allume dans mon corps. J’ai chaud, mais j’ai chaud comme on peut même pas imaginer… En quelques minutes, je suis complètement trempée ! Et quand il fait froid, c’est encore plus désagréable, cette différence de température entre l’intérieur et l’extérieur de mon corps… » (Nathalie, de Neuilly-sur-Seine)

« Il y a des jours où j’ai l’impression de devenir dingue… C’est comme si mon cerveau tournait au ralenti… Le brouillard… C’est vraiment ça… Horrible… » (Patricia, 58 ans, de Lille)

« A certains moments, la colère monte et je ne comprends pas pourquoi je pète les plombs… Après je m’en veux et je pleure… C’est vrai que ce n’est pas facile avec ces douleurs au bas-ventre. C’est comme une épée qui me transperce »  (Martine, 44 ans, de Toulouse)

La place me manque dans ce message, mais je pourrais remplir un livre entier avec tous ces témoignages qui montrent la réalité crue de la ménopause…

Et pour ne rien arranger, si vous vous tournez vers votre médecin…

Il pourrait bien vous prescrire un remède encore pire que le mal !

Les Traitements Hormonaux de Substitution : la grande arnaque des labos américains…

Pendant des décennies, les THS ont été présentés comme la panacée. On sait aujourd’hui qu’il n’en est rien. (5) D’abord parce qu’ils ne sont que partiellement efficaces (ils masquent seulement les symptômes dans la plupart des cas). Et ensuite parce qu’ils sont extrêmement néfastes pour la santé.

Les THS augmentent en effet de manière critique les risques de développer des maladies cardiovasculaires et certains cancers… (6)

C’est la raison pour laquelle de nombreuses femmes préfèrent les éviter.

Et de nombreux médecins sont également de plus en plus réticents à les prescrire… Mais sans proposer de réelle alternative.

Pourtant, il existe des solutions naturelles pour équilibrer vos hormones et vivre une ménopause beaucoup plus tranquille…

Et je vais vous révéler ces solutions dans un instant…

Notamment le secret des Japonaises dont je vous ai touché un mot il y a quelques lignes…

Je vais vous donner pas moins de 13 plantes et nutriments qui ont TOUS des effets bénéfiques sur les hormones qui dysfonctionnent lors de la ménopause et dès la préménopause.

Car, vous le savez, c’est une violente tempête hormonale qui secoue votre corps et constitue l’une des causes principales de tous ces symptômes désagréables qui vous rendent la vie impossible

Pour être exact, c’est une réaction en chaîne qui se déclenche dans votre organisme au moment où votre production d’œstrogènes se met à chuter.

Et cette réaction impacte non seulement plusieurs autres hormones…

Mais aussi votre métabolisme, le renouvellement des cellules de votre peau et de vos muqueuses, la production de calcium pour renforcer vos os, votre libido, vos différents microbiotes (intestinal, vésical, vaginal… ) et, bien sûr, votre humeur.

C’est donc une véritable cascade de domino qui bouleverse de fond en comble la manière dont fonctionne votre corps.

Et il faut savoir que 5 hormones sont particulièrement impactées lors de la ménopause…

Ces 5 hormones sont un peu comme les premiers dominos qui entraînent la chute de tous les autres.

Ce qui signifie que, si vous parvenez à garder ces 5 hormones à l’équilibre…

Vous pourrez minimiser, voire même éviter, la plupart des symptômes désagréables de la ménopause.

La première hormone dont la production est perturbée par la ménopause est l’œstrogène

Et ce n’est pas une surprise car vous n’ignorez sans doute pas qu’il s’agit de la principale hormone sexuelle féminine.

Tout d’abord, il faut savoir que la ménopause est déclenchée par l’épuisement de la réserve de follicules ovariens. Ces derniers sont des petits sacs contenant chacun un ovocyte (ovule immature) et ils sont stockés dans les ovaires situés de chaque côté de l’utérus.

Il faut savoir que chaque petite fille nait avec un nombre fini de follicules ovariens. Et ce nombre diminue logiquement tout au long de sa vie. Lorsque le nombre de follicules ovariens en réserve descend en dessous de 1000, la ménopause se déclenche. Et la production d’œstrogène chute.

C’est cette chute de la production d’œstrogène qui entraine des symptômes tels que les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, les palpitations… (7)

Cela s’explique par le fait que les œstrogènes jouent un rôle dans le mécanisme par lequel l’organisme maintient sa température constante. Leur absence perturbe donc ce processus. C’est un peu comme si le thermostat du chauffage de votre maison était complètement déréglé. Ces bouffées de chaleur peuvent persister pendant plus de 5 à 10 ans…

Sauf si vous arrivez à booster votre production d’œstrogène (et je vais vous expliquer dans un instant comment y parvenir de manière naturelle).

C’est aussi ce déficit en œstrogènes qui va accentuer le vieillissement de votre peau, l’assécher, et accentuer vos rides…

Les hormones sexuelles ont en effet la capacité d’agir sur des régions cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions et du comportement. Troubles de l’émotivité, anxiété, irritabilité, fatigue ou encore dépression sont donc également des symptômes…

Ceci nous amène d’ailleurs directement au 2e déséquilibre hormonal causé par la ménopause.

Car, pour compenser la baisse d’œstrogènes, l’organisme augmente la production de cortisol, l’hormone du stress. (8)

Les symptômes de l’excès de cortisol sont bien connus : fatigue, anxiété, irritabilité, troubles du sommeil et de la concentration, dépression…

Mais heureusement, il existe aussi des solutions naturelles pour ramener la production de cortisol à des niveaux sains. Et permettre ainsi à chaque femme de vivre sa ménopause beaucoup plus sereinement.

Mais avant d’aborder ce point, laissez-moi vous parler du 3e déséquilibre hormonal qui se développe à la ménopause.

Conjuguée à l’augmentation du cortisol, la baisse des œstrogènes a un impact direct sur votre thyroïde, qui s’épuise peu à peu (9)

Avec pour conséquence une diminution importante de la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4.

Or, ces hormones ont un rôle extrêmement important dans le fonctionnement de votre corps. Et notamment de votre métabolisme.

En effet, lorsque votre thyroïde s’épuise et ne produit plus assez d’hormones T3 et T4, votre métabolisme ralentit. Et votre corps se met automatiquement à stocker la graisse au lieu de la brûler.

C’est donc cette baisse des hormones thyroïdiennes qui explique notamment la prise de poids qu’on peut observer chez de nombreuses femmes à la ménopause.
Cette baisse d’activité de la thyroïde se manifeste aussi par une sensation de froid persistante, une perturbation du rythme cardiaque, ou des troubles cognitifs (baisse de concentration, perte de mémoire, brouillard mental…)
 

La baisse de production des hormones thyroïdiennes et la prise de poids qui l’accompagne souvent induisent 2 autres dysfonctionnements hormonaux : la baisse de leptine et la résistance à l’insuline (10,11)

La leptine est connue pour être l’hormone de la satiété. Lorsque vous ne produisez plus assez de leptine, vous avez forcément tendance à avoir « trop d’appétit » et donc manger de trop grandes quantités. C’est aussi ce déficit de leptine qui explique les fringales dont sont victimes de nombreuses femmes durant la ménopause.

La résistance à l’insuline, elle, est un problème encore plus grave…Car elle peut mener rapidement à de graves troubles métaboliques ou au diabète de type 2. (13)

Il est donc également très important de réguler la production de leptine et d’insuline dès les premiers symptômes de la préménopause.

Non seulement pour éviter la prise de poids hormonal, mais aussi pour se prémunir contre de graves problèmes de santé. (14)

Vous l’aurez sans doute compris, les 5 hormones qu’il faut absolument réguler pour limiter les symptômes de la ménopause sont : l’œstrogène, le cortisol, les hormones thyroïdiennes, la leptine et l’insuline

Sources
[1] https://www.planetesante.ch/Magazine/Gynecologie/Menopause/Le-temps-de-la-menopause

[2] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4604668/

[3] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2788287

[4] Lock M. Ambiguities of aging: Japanese experience and perceptions of menopause. Cult Med Psychiatry. 1986 Mar;10(1):23-46.

[5] https://www.nhs.uk/conditions/hormone-replacement-therapy-hrt/risks/

[6] https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/menopause/articles/8455-menopause-ths-questions.htm

[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2717878/

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2749064/

[9] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3113168/

[10] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9847982/

[11] https://www.fertstert.org/article/S0015-0282(06)04692-9/pdf

[12] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9847982/

[13] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3314346/

[14] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27748199/

[15] https://aacrjournals.org/cebp/article/9/8/773/179852/Brassica-Vegetable-Consumption-Shifts-Estrogen?searchresult=1

[16] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3048776/

[17] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19016404/

[18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5628357/

[19] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23362734/

[20] https://www.nhc.com/bladderwrack

[21] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3687637/

[22] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3139337

[23] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25788177/

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24390903/

[25] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19254366/

[26] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK132337/

[27] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29250843

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additifs nitrés dans les produits de charcuterie.

 DOSSIER SANTÉ : loi pour l’interdiction Progressives des additifs nitrés dans les produits de charcuterie = Rejetée.

Après avoir soutenu l’injection expérimentale sur la population, en cachant les effets secondaires graves (qui sortent dans beaucoup de pays) nous pouvons constater que certains membres du gouvernement se préoccupent de la santé du peuple !

D’autres non, mais sans surprise.

 Vidéo : Les députés Renaissance ont rejeté le texte du député Richard Ramos (MoDem) sur l’Interdiction des additifs nitrés dans les produits de charcuterie.
Ce dernier remercie LFI, PS, EELV et le RN, et accuse Renaissance : «Vous continuerez à ce que des pauvres puissent mourir.»
(https://twitter.com/2022Elections/status/1646458026554011650?t=3sKoM4uhLh-Lq_W02Wquhg&s=35)

 PROPOSITION DE LOI
relative à l’interdiction progressive des additifs nitrés dans les produits de charcuterie :
(Extrait)
 »Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) classe la charcuterie et les salaisons comme cancérogènes avéré (groupe 1 : « cancérogènes certains pour l’homme »).

Décidé en 2015, ce classement signifie que les scientifiques disposent de preuves certaines de la cancérogénicité pour l’homme. Les charcuteries et salaisons représentent, avec l’alcool, le seul groupe d’aliments qui est classé dans cette catégorie.

Le rapport final du CIRC, publié en 2018 ([1]), n’a fait que confirmer les conclusions du World Cancer Research Fund (WCRF) et de l’American Institute for Cancer Research (AICR) qui alertaient dès 2007 sur la consommation de charcuterie comme augmentant nettement le risque de cancer. »
(https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b4830_proposition-loi)

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les « coucous »

Savez-vous que les « coucous » autrement appelés primevères, ces fleurs à clochettes jaunes qu’on peut trouver un peu partout en ce moment, particulièrement dans les fossés sont comestibles !? Les fleurs et les feuilles se mangent, vous pouvez les ajouter à vos salades par exemple. Elles ont pleins de bienfaits. L’abondance est partout autour de nous dans les choses simples et la nature

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prochaine grand péril sanitaire: la menopause

Invité à l’Assemblée Nationale, le Dr Mouly est effaré par l’ignorance à propos du sujet de la ménopause par les politiques. Selon lui, il s’agit pourtant du prochaine grand péril sanitaire.

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La retraite et la ménopause ou la triple peine | FranceSoir

TRIBUNE/OPINION – Je m’appelle Michel Mouly. Je suis gynécologue, cancérologue et chirurgien. Il y a quelques mois, j’ai publié le livre « Ménopause, tout peut changer » 

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-retraite-et-la-menopause-ou-la-triple-peine