ELLE PEUT METTRE LA VIE EN DANGER. Combien de patients atteints de coronavirus ont donc été tués par l’administration de ribavirine ?
Et avec ça, sautons dans le vif du sujet… parce qu’il y a plus. Beaucoup plus.
Pour ceux qui croient encore au coronavirus…
Voici la situation de base : les agences sanitaires italiennes font état d’une escalade des décès dus au COV – une grande histoire de peur au premier plan…
Mais en arrière-plan, d’autres chercheurs du gouvernement italien passent au peigne fin les dossiers des patients afin d’examiner de plus près si les personnes meurent du virus ou d’autres causes plus évidentes.
Les gens meurent-ils par coïncidence AVEC le virus ou À CAUSE du virus ? Le virus est-il un simple passager inoffensif dans l’organisme ou en est-il le moteur ?
Les résultats italiens sont étonnants, pour ne pas dire plus.
Bloomberg News en parle : 3/18, « 99 percent of those whose died from virus had other illness, Italy says » (99 % des personnes décédées à cause du virus étaient atteintes d’une autre maladie, selon l’Italie) :
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Nombreuses personnes qui ont été diagnostiquées comme « cas de coronavirus » en Italie, et qui sont ensuite décédées, ont très certainement été mises sous médicaments antiviraux.
Comme vous le verrez ci-dessous, un pourcentage important de ces personnes souffraient déjà de problèmes cardiaques ou d’hypertension artérielle.
Or, au moins l’un des médicaments antiviraux, la ribavirine, est assorti de cet avertissement TRÈS PERTINENT, tiré du site cardiosmart.org : « La ribavirine peut diminuer le nombre de globules rouges dans votre corps.
C’est ce qu’on appelle l’anémie, qui peut mettre en danger la vie des personnes souffrant de maladies cardiaques ou de problèmes de circulation. » L’hypertension artérielle est un problème circulatoire. Vous comprenez ?