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LE CONTRAT SECRET, le contrat d’âme

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 11 POINTS (TRES IMPORTANTS) CONCERNANT LE CONTRAT SECRET QUE VOUS AVEZ SIGNÉ AVANT DE NAÎTRE

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Nous sommes vraiment bénis d’être en vie pendant la période de transformation la plus excitante de la planète.

Pour accompagner cette transition, il est essentiel de s’éveiller à la conscience d’unité.
Vous êtes venu sur cette planète en tant que bénévole atteint d’amnésie, vous devez donc vous souvenir des origines de votre âme pour vous engager dans le travail pour lequel vous êtes venu ici.

C’est littéralement notre dernier regard sur la dualité alors que nous montons de la conscience 3D à la conscience 4D et 5D. Soyez confiants !

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 QUE SONT LES CONTRATS D’AME ?

Les contrats d’âme sont des accords que vous concluez avant la naissance.
Avant la création de ce contrat, vos guides spirituels vous permettent de décider quels scénarios de leçon de vie vont permettre à votre âme d’évoluer. Ces choix formulent ensuite la base de votre contrat d’âme.
Votre contrat d’âme n’implique pas seulement les relations dans votre vie. Il comprend également vos expériences de vie, événements et circonstances. Mais quel que soit le contrat de votre âme, n’oubliez pas que vous ne l’avez pas choisi pour vous punir sinon pour que chaque expérience pour vous aide à apprendre et à grandir.
Voici 11 faits importants sur les contrats, les accords et les dettes de l’âme qui vous aideront à vous éveiller et puis à laisser partir !

✨1. VOUS AVEZ CHOISI VOTRE NOM ET VOTRE DATE DE NAISSANCE

Votre heure, date et lieu de naissance ne sont pas une coïncidence. Ne pensez pas non plus que votre nom vous a été donné par vos parents.
Ceux-ci portent une signature énergétique unique et ont tous été convenus pour vous aider à comprendre votre objectif de vie, vos forces et votre schéma de personnalité.
Tout cela peut être mieux compris grâce à votre numérologie personnelle.

✨2. VOUS AVEZ CHOISI VOTRE FAMILLE

Cela peut être difficile à entendre, surtout pour les personnes qui ont souffert, cela ne parle pas de votre valeur ou que vous méritez ce que vous avez vécu, vous êtes innocent, vous l’avez fait pour vous permettre d’apprendre des leçons spécifiques et d’élargir votre conscience et d’ouvrir votre cœur.
À un niveau supérieur, nous acceptons même parfois d’endurer des relations abusives ou extrêmes, pour nous aider à nous réveiller à notre objectif sur la planète.
Dans des vies antérieures, vous avez peut-être changé de rôle avec certaines autres personnes de votre famille et pris différents archétypes dans leur vie. Ainsi, par exemple, vos parents ou vos frères et sœurs peuvent avoir été vos enfants auparavant.
Ceci est souvent organisé dans le but de libérer le karma.
✨3. VOTRE FAMILLE D’ÂMES VOUS AIDE À LA GUÉRISON

Diverses personnes sont destinées à entrer dans votre vie pour vous aider à guérir quelque chose des vies antérieures ou de cette vie.
Ces personnes ont convenu avec l’Esprit d’entrer dans votre vie, pour vous aider à comprendre vos émotions avec plus de clarté, afin que vous puissiez atteindre des niveaux plus élevés de compassion et de pardon.
Même si une leçon est douloureuse, ayez confiance qu’elle a été mutuellement convenue au niveau de l’âme, alors que vous étiez des êtres désincarnés.
✨4. LES ÉVÉNEMENTS DE LA VIE VOUS AIDENT À GUÉRIR

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Aux femmes enceintes !

Quelques chiffres des données du monde réel qui auraient dû normalement obliger le retrait immédiat de ce « vaccin ». 3631 déclarations de fausses couches et de décès fœtaux en Europe. PÁGINA UM (Journal indépendant portugais), divulgue les fiches individuelles (évidemment anonymisées) des notifications depuis 2021 des effets indésirables graves de la base de données Eudravigilance, gérée par l’EMA, relatives aux femmes enceintes. Le journal a parcouru des milliers et des milliers de dossiers de réactions indésirables aux vaccins contre la covid-19 chez les femmes enceintes. Malgré l’obscurantisme généralisé, qui rend les analyses statistiques difficiles et ne permet même pas de calculer l’incidence, l’enquête PÁGINA UM a constaté l’existence de plus de 5300 cas de réactions considérées comme graves, dont 3385 avortements et 246 morts fœtales. Plus de deux effets indésirables graves sur trois (68%) chez les femmes enceintes ont ainsi entraîné la perte de l’enfant.

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Le Coronavirus et la Covid-19

En avril 2020, les autorités sanitaires remettent le couvert : Jérôme Salomon commençait consciencieusement sa litanie des morts qui annonçaient les centaines de milliers de morts ; on le sait très précisément aujourd’hui : tous les chiffres étaient falsifiés (Cf., par exemple, entre autre source, la publication du chercheur de l’INSERM, le Pr Laurent Toubiana, « Covid 19, une autre vision de l’épidémie », ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas, les vérités d’un épidémiologiste, éditions l’Artilleur, 2022, 272 pages.)

La terreur était relayée par une mise en scène fallacieuse des hôpitaux. On mentait, on falsifiait, on manipulait à grande échelle : toute l’opération s’étendait essentiellement à l’occident dans son ensemble, là où il y avait de l’argent. Toutes les autres parties du monde n’étaient pas concernées par l’hécatombe. Tous ceux qui restaient lucides et honnêtes étaient immédiatement catalogués « charlatans » ou « complotistes ». On s’arrangeait pour falsifier tous les tests et les autres opérations, à partir d’une modélisation mathématique erronée. Si quelqu’un ne voulait pas se faire vacciner, il devait au moins le faire pour préserver les autres ! Comment une vaccination pouvait assurer l’immunité générale ? L’argument n’avait aucun fondement scientifique, pourtant les autorités sanitaires s’acharnaient et s’acharnent encore aujourd’hui à rendre obligatoire cette vaccination par tous les moyens ! Très vite il fallait multiplier les injections ! Très vite on remarquait que les vaccins ne protégeaient pas de l’infection et ne permettaient pas non plus d’éviter de contaminer les autres !

On inventait la réplique des « variants ». Peu importe, les fanatiques de la vaccination s’acharnaient en assurant que « les vaccins permettaient d’éviter les formes graves de la Covid-19 » ! Et le cirque sur le vaccin continue puisque ce groupe des complices au G20 2022, ont planifié la création d’un « pass vaccinal » obligatoire pour voyager… Le nouveau ministre de la santé, François Braun, déclarait le 9 décembre sur BFMTV, qu’un rappel du vaccin anti-Covid sera désormais nécessaire tous les six mois à perpétuité !

ils savaient que les « vaccins » faisaient du mal aux gens, mais n’ont rien dit. Les scientifiques qui travaillaient avec les LNP/ARNm savaient que cela serait très probablement dangereux. Malheureusement, c’est encore pire que nous le pensions…

Personne ne conteste à ce stade qu’il existe une pléthore de décès excessifs et une pénurie de naissances, une tendance qui devrait être LE problème de politique publique le plus alarmant. Pourtant, lorsque l’un d’entre nous suggère que la thérapie génique omniprésente dans le monde au moment de l’augmentation de ces chiffres pourrait être responsable, les gens nous regardent comme si nous venions de Mars. CEPENDANT, il s’avère, sur la base de documents FOIA (Le Freedom of Information Act, loi américaine d’accès à l’information) récemment publiés par le CDC, que le gouvernement américain était au courant et avait même anticipé des rapports massifs de blessures dues à ces injections dès le premier jour. Ce document de la FOIA montre que le gouvernement américain avait anticipé les blessures massives causées par les vaccins, puis les a observées dès le premier jour… ils ont continué à traiter plus de 30 000 rapports de blessures par semaine, mais le CDC n’en a jamais dit un mot. Je vous laisse imaginer ce qu’a bien pu nous cacher Macron&Co…

https://www.conservativereview.com/horowitz-they-knew-foia-document-shows-government-anticipated-mass-vaccine-injuries-then-observed-them-from-day-one-2659636848.html

Le grand public a été tenu dans l’ignorance à propos de la Covid et des vaccins. Lorsqu’ils admettront enfin la vérité, les politiciens n’auront aucune défense… et ils ne pourront pas dire  « NOUS NE SAVIONS PAS ». Pour mémoire, il y a tout juste 1 an, 1000 Articles médicaux sur les effets secondaires, liste non exhaustive malheureusement…

À archiver, LA LISTE COMPLÈTE de ces articles médicaux évalués par des pairs, qui attestent d’une multitude d’événements indésirables chez les receveurs du vaccin Covid-19. 80 pages de liens (Pdf en anglais)

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La Dengue

En 2015, Sanofi-Pasteur crée le vaccin Dengvaxia. On organise une campagne de vaccination dans les Philippines. 500.000 enfants sont vaccinés. Un an plus tard, tous les enfants vaccinés qui avaient été auparavant infectés par la Dengue, ne développaient aucun symptôme, alors que tous ceux qui étaient en bonne santé, sans avoir jamais été contaminés auparavant par la Dengue, développèrent tous des formes sévères de la maladie : on retira le Dengvaxia du marché ! Théoriquement, un vaccin doit anticiper le premier contact avec l’agent pathogène, puisque une fois le virus contracté, l’organisme est naturellement immunisé. Pourquoi Sanofi-Pasteur déclarait dans un communiqué que 70% à 90% des habitants des Philippines sont exposés à la Dengue au moins une fois avant l’adolescence ?! Dans ce cas, où était l’intérêt de vacciner cette population au Dengvaxia, à part celui des énormes profits financiers à faire sur le dos de braves gens ?!

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H1N1 grippe aviaire

C’est la raison pour laquelle, les campagnes de vaccination comme celle du H1N1, devait impérativement passer par une campagne préalable de terreur organisée, il fallait distiller d’abord la peur, pour provoquer la possibilité de la vaccination. On sait à quel point cette campagne de Mme Roselyne Bachelot en 2005, fut un échec cinglant et on attend toujours les millions de morts annoncés dans le monde par cette « pandémie » de grippe aviaire ! Notre ministre de la santé achetait 13,7 millions de doses de Tamiflu et harcelait les journaux et les plateaux de Télévisions, pour qu’ils répandent la psychose dans la population. Les professeurs Jean-Philippe Derenne, pneumologue et François Bricaire, infectiologue, annonçaient dans leur livre « La grande menace de la grippe aviaire », Fayard 2005, plus de 500.000 morts en France ! Pour éviter ce désastre il fallait injecter le Tamiflu. Finalement sur les 67 millions d’habitants en France, 4 millions se laisseront convaincre par cette campagne mensongère qui fut un flop retentissant et une démonstration supplémentaire sur le mythe tenace de la vaccination dans les cerveaux toujours conditionnés par la propagande de la religion vaccinaliste…

Petit retour en arrière avec la Grippe porcine de 2009 / Grippe A / #Grippe#H1N1
Les enquêtes sur cette grippe #H1N1 nous confirment qu’elle a bien été orchestré par l’ #OMS sous les ordres de #BigPharma pour déclencher les contrats d’achats des #vaccination à l’échelle mondiale – D’ailleurs, le #Senat dans son rapport de 2010 l’a bien signifié.
La même technique a été employé pour le #COVID19 mais cette fois, cela a été multiplié par 100.

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Lien vers le rapport du sénat
https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf

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L’Hépatite B

Le vaccin contre l’hépatite B vient s’associer aux autres vaccins et, les spécialistes vaccinologues comme les autres observateurs des vaccins ont constaté que cette association s’attaquait très souvent au système nerveux de l’individu vacciné, qu’il facilitait l’installation de maladies auto-immunes en favorisant un vieillissement prématuré.

Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’avait pas hésité à avancer des chiffres sans aucune base scientifique, mais qui avaient été suggérés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40.000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », (Cf., Libération le 4 septembre 1994.) Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. Ce chiffre représentait 70% de la population mondiale ! Personne n’a jamais relevé l’énormité du mensonge pour protester officiellement.

Une note interne, du laboratoire Pasteur-Mérieux dit : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie ». Cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère. Mais non, rien, aucune suite, l’impunité absolue et le crime continue allègrement ses ravages…

C’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, en étant juge et partie. Dans sa plaquette il affirmait : « la salive est un important vecteur de la contamination ».

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel… Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B. Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave à partir de la vaccination est très élevé. Mais cela, personne ne le dira jamais officiellement. Pourquoi ?

Dire sans vergogne qu’il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, The Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent et signent en affirmant qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, l’associé de Pasteur-Mérieux.

Les marchands de vaccins avec nos instances de santé complices, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens n’ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent d’affirmer scandaleusement qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors que le Revahb possède à lui seul plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également. Encore du mensonge, rien que du mensonge !

« Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps » (Dr Ron Paul, Sénateur américain).

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La Grippe saisonnière

Chaque année à l’automne, les médias collabos arrosés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe saisonnière, en allant jusqu’à raconter que c’est gratuit. C’est un premier mensonge, car tout le monde sait que les labos sont payés par l’argent public et ce sont les usagers qui financent ces frais sous forme des prélèvements de la Sécurité Sociale.

Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, aux USA est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »

L’épidémiologiste Lone Simonsen des National Institutes of Health de Bethesda, écrivait dans The Lancet du 25 septembre 2007 : « il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité du vaccin contre la grippe chez les plus de 65 ans… » On sait pourtant que plus de 65% des plus de 65 ans se font vacciner en France chaque année contre le virus de la grippe ! Les études d’épidémiologie comme celle de 2005 dans « International Archives of Medicine » démontrent que 76% des morts de la grippe étaient vaccinés. Les ayatollahs de la vaccination claironnent toujours que les vaccins diminuent de 50% les risques de mort par la grippe hivernale !

Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.

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« LA LEGENDE DU VACCIN »

« Le cas le plus emblématique de cette histoire des vaccins, reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner compulsivement des millions d’écoliers chaque année.

Les recherches de l’INSERM ont démontré que le nombre de décès par tuberculose avait baissé de 80 % au moment où fut introduit le vaccin BCG obligatoire le 5 janvier 1950 ! Les campagnes de vaccination n’ont pas modifié les courbes de la maladie.

La tuberculose a continué à régresser au même rythme qu’avant les vaccinations obligatoires grâce à l’amélioration de l’hygiène et à la généralisation de l’eau courante. Nous savons, de plus, qu’être vacciné contre le BCG ne protégeait ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie.

Toutes les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France sont pourtant vaccinées, mais socialement marginalisées et souffrant d’une mauvaise alimentation à cause de leur précarité et hygiène de vie… »

Le vaccin de la BCG contient en lui des risques d’effets secondaires ! C’est la raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80, en Europe, sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué la quasi-disparition des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Les sanatoriums et les antibiotiques avec la clofazimine, dès les années 50, ont été les vrais moyens d’éradication de la tuberculose et non pas les vaccins …

Les vaccins contre la tuberculose posent des problèmes graves en 1927 en Angleterre, puis en Suède. En 1928, la Société des Nations organise un congrès sur le thème des vaccins. Le BCG est déclaré inefficace. En 1930 à Lübeck en Allemagne, 251 enfants sont vaccinés BCG : 70 meurent de la tuberculose généralisée, 130 parviennent à y échapper péniblement ; seuls 40 sur les 251 ne présentent aucun symptôme. En 1948, le Premier Congrès International du BCG à l’Institut Pasteur déclare ce vaccin inefficace, car « il ne favorise qu’une immunité très relative ». Cela n’empêchait pas les « autorités sanitaires » françaises de le rendre obligatoire en 1950 !

Le professeur Marcel Ferru, chef de clinique de l’hôpital de Poitiers, professeur de sciences fondamentales à la Faculté de médecine, condamnait le BCG. Il publiait son étude en 1977 : « La faillite du BCG ». L’OMS testait le BCG sur 260.000 enfants en Inde. Conclusion des experts de l’OMS : le vaccin n’avait, en effet, aucune efficacité : ce sont les conditions d’hygiène qu’il fallait changer !

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SOIGNER UNE ENTORSE À LA CHEVILLE

Cette lésion peut durer généralement plusieurs semaines selon la gravité de l’entorse.

Attention, une entorse mal soignée laisse des séquelles musculaires et peut poser de véritables problèmes par la suite, allant jusqu’à une intervention chirurgicale.

Juste après le choc :

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 – Apposer de la glace sur la zone touchée pour soulager la douleur, afin de permettre à la zone de dégonfler,

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 – Cesser toute activité physique et repos.

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 – Envelopper la région atteinte à l’aide d’un bandage élastique,
Ne pas serrer trop fort pour ne pas couper la circulation sanguine,

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 – Surélever le plus possible votre jambe,
Le membre blessé doit être élevé de 10 cm plus haut que le coeur (être assis le pied posé sur un tabouret n’est pas efficace),
Maintenir l’élévation pendant 2 à 3 heures chaque jour, jusqu’à ce que la douleur et l’enflure diminuent.

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 Pour une petite entorse, préparer un cataplasme épais d’argile verte à étaler sur la zone douloureuse, faire des bains d’eau tiède salée.

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 Pour une entorse grave, consulter un médecin.

Article complet :
https://www.compagnie-des-sens.fr/entorse-cheville-traitement-naturel/

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remèdes naturels pour nettoyer les reins

Les 4 meilleurs remèdes naturels pour nettoyer les reins
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Phyllanthus niruri peut également avoir des propriétés antidiabétiques.
Phyllanthus niruri est une mauvaise herbe que l’on trouve dans les zones côtières. C’est aussi connu sous le nom de coup de vent ou de brise-pierre. Ses feuilles et ses fruits sont utilisés comme plantes
 médicinales.

Remède médicinal pour casser les calculs rénaux Ail et Vinaigre de cidre (video de Rav Menahem Berros)

1. Il a des propriétés antioxydantes

Selon une étude in vitro réalisée en 2014, un extrait de feuilles de phyllanthus niruri a montré une forte activité antioxydante. Les antioxydants combattent les radicaux libres dans l’organisme qui peuvent endommager les cellules et causer des maladies.

2. Il a des propriétés antimicrobiennes

D’après un Étude 2012L’extrait de phyllanthus niruri possède des propriétés antimicrobiennes contre la bactérie H. pylori. Les bactéries H. pylori sont courantes dans le tube digestif et sont généralement inoffensives. Mais dans certains cas, ils peuvent entraîner des ulcères gastro-duodénaux, des douleurs abdominales et des nausées.

Les chercheurs ont également découvert que l’extrait n’a pas endommagé les souches bénéfiques de bactéries lactiques.

3. Il a des propriétés anti-inflammatoires.

L’inflammation peut causer de nombreux problèmes dans tout le corps, y compris des affections cutanées comme le psoriasis et la douleur chronique. D’après un 2017 étude animalePhyllanthus niruri peut aider à réduire l’inflammation.

Pour l’étude, les chercheurs ont injecté de la carraghénine dans les pattes arrière gauche des rats pour provoquer une inflammation. Les rats ont ensuite été traités avec de l’extrait de phyllanthus niruri, qui s’est avéré réduire significativement l’inflammation.

4. Il peut aider à protéger contre les ulcères.

Les résultats de la même 2017 étude animale suggèrent également que l’extrait de phyllanthus niruri peut aider à prévenir les ulcères. On pense qu’il réduit la sécrétion d’acide gastrique et protège l’estomac. Il a également montré de puissants effets anti-inflammatoires contre les ulcères gastriques.

5. Il peut aider à abaisser le taux de sucre dans le sang

Phyllanthus niruri peut également avoir des propriétés antidiabétiques. D’après un Étude 2011Les parties aériennes de la plante peuvent aider à prévenir l’absorption du glucose et à améliorer le stockage du glucose. Cela peut aider à maintenir le taux de sucre dans le sang.

6. Il peut aider à prévenir les calculs rénaux

Phyllanthus niruri peut être mieux connu comme remède contre les calculs rénaux. Selon les recherches de 2010, de nombreuses études ont démontré qu’il s’agit d’un puissant moyen de dissuasion contre les calculs rénaux.

Phyllanthus niruri peut aider à détendre l’uretère après la lithotripsie pour aider les calculs à passer. La lithotripsie est une procédure utilisée pour briser les calculs dans les voies urinaires. Il peut aussi empêcher la formation de pierres en empêchant les cristaux de s’agglutiner.

7. Il peut améliorer la santé du foie

D’après un Étude 2017 chez le rat, le phyllanthus niruri peut aider à traiter les maladies hépatiques grasses non alcooliques et l’athérosclérose. Ces deux conditions peuvent causer une résistance à l’insuline. L’étude a révélé que le phyllanthus niruri diminuait la résistance à l’insuline et réduisait la quantité d’acides gras dans le foie.

Étude de 2006 chez la souris ont également découvert que les antioxydants contenus dans le phyllanthus niruri peuvent aider à protéger le foie contre la toxicité de l’acétaminophène.

8. Il peut aider à traiter l’hépatite B aiguë.

Phyllanthus niruri peut aider à traiter les infections aiguës de l’hépatite B en raison de ses propriétés antivirales et hépatiques protectrices.

Dans un Étude 201060 personnes atteintes de la maladie ont reçu soit un placebo, soit un produit à base de sept plantes médicinales, dont 100 milligrammes de phyllanthus niruri. Le groupe des plantes médicinales s’est rétabli plus rapidement que le groupe placebo. Cependant, ils ont rapporté des effets secondaires comme des douleurs dans la partie supérieure de l’abdomen et de la diarrhée.

Phyllanthus niruri n’aidera peut-être pas l’hépatite B chronique, cependant. Un examen en 2011 de 16 essais randomisés sur des personnes atteintes d’hépatite B chronique n’a trouvé aucune preuve significative à l’appui du traitement.

9. C’est peut-être anticancéreux.

Phyllanthus niruri et d’autres espèces de phyllanthus peuvent aider à prévenir les métastases de certains cancers du poumon et du sein. A Étude 2011 ont montré que les polyphénols contenus dans la plante aident à prévenir l’invasion, la migration et l’adhésion des cellules cancéreuses.

Étude 2012 sur les lignées de cellules cancéreuses colorectales et hépatiques humaines a également constaté que le phyllanthus niruri contribuait à ralentir la croissance des cellules cancéreuses et à favoriser leur mort.

Comment l’utiliser

Les remèdes à base de plantes ne sont pas réglementés par le gouvernement fédéral. Il est difficile de savoir si vous obtenez ce qui est annoncé sur l’étiquette. Vous ne devriez acheter que des marques que vous avez recherchées et que vous savez dignes de confiance.

Avant d’acheter, lisez les commentaires des clients et faites des recherches sur le fabricant. Assurez-vous qu’ils utilisent des ingrédients de haute qualité et respectent les bonnes pratiques de fabrication (BPF).

Phyllanthus niruri est couramment utilisé sous forme de capsules, de thé ou d’extraits, et il n’existe aucune recommandation posologique normalisée.

Une dose moyenne est une capsule de 500 milligrammes par jour ou 1 millilitre d’extrait jusqu’à quatre fois par jour. Pour obtenir des directives posologiques précises, consultez votre médecin ou un professionnel de la santé.

Effets secondaires et risques potentiels

Phyllanthus niruri a montré peu d’effets secondaires négatifs dans les études chez l’homme et l’animal, mais vous devriez quand même faire preuve de prudence. Il peut causer des maux d’estomac ou de la diarrhée. Comme il n’a pas été étudié, il n’existe pas de dose sûre prouvée pour les enfants. Cette herbe n’est pas recommandée pour les femmes enceintes ou allaitantes.

Parlez à votre médecin avant l’utilisation si vous :

  • vous êtes diabétique
  • vous souffrez d’un trouble de la coagulation sanguine
  • prendre des médicaments anticoagulants
  • subir une intervention chirurgicale prévue dans un délai de deux semaines
  • prendre plusieurs médicaments différent