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un nouveau scandale

Allons nous assister à un nouveau scandale du « sang contaminé » ? Le manque d’inspection de ces produits anti-COVID a été un désastre !!

Sur la base d’études précédentes (partagées sur ce canal), nous savons que l’ARNm synthétique contenu dans les flacons des produits « anti-COVID » de Pfizer et Moderna reste viable dans les ganglions lymphatiques des personnes inoculées, pendant au moins 60 jours (https://t.me/vivrecorrectement/3363), et nous savons que la protéine Spike générée par l’inoculation se retrouve dans divers organes et tissus de certaines personnes décédées quelque temps après avoir été inoculées (https://t.me/vivrecorrectement/4120).

Donc, les questions sur la possibilité que de l’ARNm synthétique de ces produits soit trouvé dans le sang des inoculés (c’est-à-dire que le sang donné d’une personne inoculée puisse contenir de l’ARNm synthétique) est tout à fait plausible.

Samaniego Castruita et al sont les auteurs d’un article intitulé « Les séquences vaccinales d’ARNm de la pointe SARS-CoV-2 circulent dans le sang jusqu’à 28 jours après la vaccination COVID-19 » ( https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36647776 ) qui montre juste cela : que l’ARNm synthétique reste viable dans les inoculats, pendant au moins 28 jours après l’avoir reçu… C’est un article intéressant et décevant à la fois. Pour commencer, il est important de souligner que ce n’était pas l’intention de Samaniego Castruita et al de rechercher des séquences d’ARNm synthétiques à partir des inoculations « anti-COVID ». En fait, il s’agissait d’une étude qui portait sur la recherche de séquences du virus de l’hépatite C (HVC, genre hepacivirus) chez des patients atteints d’hépatite C. En d’autres termes, sa découverte était complètement inattendue.

Je ne dis pas que c’était le fruit du hasard, car vu ses résultats, il est peu probable que ce soit quelque chose de fortuit. Au contraire, il ne leur était pas venu à l’esprit d’enquêter sur ce phénomène… N’oubliez pas qu’il est possible de faire la différence entre les séquences car Pfizer et Moderna les ont modifiées, elles ont donc des parties uniques dans ces séquences, et il y avait 100% d’identité dans les séquences trouvées avec les séquences Pfizer et Moderna, et dans tous les cas il s’agissait de personnes qui avaient été inoculées avec ces produits, il ne fait donc aucun doute qu’il s’agit d’ARNm synthétiques issus des inoculations…

Le sang des personnes inoculées est-il sûr pour les transfusions ? Nous ne savons pas. Aucunes études scientifiques évaluées par des pairs ont examiné les effets négatifs des transfusions sanguines du SRAS-CoV-2 inoculé à non inoculé… Ce qu’il y a, c’est une liste croissante d’études qui montrent des altérations du sang chez les sujets inoculés, dont voici 35 publications, https://t.me/vivrecorrectement/4372

De plus, la contamination des vaccins à ARNm par l’ADN est bien supérieure à ce que l’on pensait initialement jusqu’à 35%, et le rôle de l’ADN dans l’induction des cellules humaines à produire la protéine de pointe à long terme a été confirmé. Des travaux du Dr Kevin McKernan et de son équipe avaient soumis les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna à une analyse de séquençage approfondie et trouvé des niveaux alarmants de contaminants d’ADN connus sous le nom de plasmides… https://dailysceptic.org/2023/03/13/mrna-vaccine-contamination-much-worse-than-thought-jabs-up-to-35-dna-that-turns-human-cells-into-long-term-spike-protein-factories/

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