1. L’intelligence, qu’est-ce que c’est ? C’est une forme de perception, de perspicacité. Howard Gardner a décelé ainsi plusieurs formes d’intelligence qu’il a essayé de classer (mais en réalité il y en a une infinité). Il dénombre 9 formes d’intelligences les plus courantes : naturaliste (capacité d’observation), logique (capacité d’abstraction et de raisonnements cognitifs), musicale, spirituelle (éveil de la conscience, capacité à sortir de son cadre, recul), inter-personnelle (empathie, capacité à communiquer), kinesthésique (sportif, jongleur, gamer), verbale, intra-personnelle (hypersensibilité), spatiale (capacité à s’orienter). L’intelligence est une notion très relative.
Coluche disait avec humour : « On a tous toujours l’impression d’en avoir suffisamment ! »
Francis Blanche : « On est toujours l’idiot de quelqu’un ! »
Cette notion d’intelligence n’existe que par interaction.
Les gens intelligents ne savent pas qu’ils sont intelligents. Ils pensent au départ que tout le monde raisonnent naturellement comme eux.
Car en effet, on n’existe que par rapport aux yeux d’autrui (Boris Cyrulnik).
L’intelligence est donc subjective en ce sens qu’il n’existe pas de référence.
L’école, l’éducation, ne met en valeur que quelques formes d’intelligences : la logique et la verbale. L’école nous permet d’apprendre, l’intelligence nous permet de comprendre.
Einstein : « L’apprentissage commence à la sortie de l’école ». Dans cette phrase, il passe un message : ce n’est pas à l’école, que nous deviendrons plus intelligents mais c’est en faisant et en refaisant. L’école nous permet d’être cultivé mais pas intelligent.
2. L’intelligence rend-elle triste ? Un THQI (très haut quotient intellectuel – c’est un exemple) va très mal vivre ses premières années car il n’aura pas d’amis assez intéressants pour discuter des questions qu’ils se posent. Cette solitude va peser fortement sur son être. Or notre instinct grégaire nous pousse à être « comme les autres ». Cette dissonance peut aller jusqu’à la dépression. En plus, les enfants n’ont pas de filtres. Ils disent crûment ce qu’ils pensent (« Toi, l’extra-terrestre !… »).
Ensuite, un THQI est assez intelligent pour se calfeutrer tel un caméléon dans notre société. « Pour vivre heureux, vivons cachés ».
Il essaiera de se conformer en se trouvant un travail rémunérateur, en se mariant, et en ayant des enfants. Il se met des tonnes de crèmes de protection autour de son cœur mais au fond de lui est-il triste ?
Je ne pense pas qu’il soit triste, mais plutôt comme Bergson pense, il est déçu de ne pas avoir dans son entourage des esprits brillants pour progresser encore, cela crée une certaine frustration. Ce n’est donc pas la tristesse qui l’habite, mais l’ennui et il procrastine un max. . Daniel Keyes dans « Des fleurs pour Algernon » a tenté de démontrer que l’intelligence ne rend pas heureux. J’en suis convaincu. Et plus on s’intéresse aux mécanismes politico-économiques, plus on est pessimiste sur l’avenir. Pour autant ce n’est pas de la tristesse.
L’important pour vivre heureux (et donc pas triste) est d’arriver à se constituer des amis de même sensibilité intellectuelle que soi, ce qui permet de se sentir « en conformité » avec nos attentes sociétales.
Ce n’est donc pas uniquement une question d’intelligence mais aussi d’empathie.
Ainsi, il vaut mieux peu d’amis qui te comprennent et qui s’intéressent à l’Etre, plutôt que beaucoup d’amis qui ne te comprennent pas vraiment.
3. L’intelligence émotionnelle. C’est la nouvelle tendance.
Cette définition du dictionnaire me gêne. Pour moi, il n’est pas question de raisonner avec nos émotions. Cette intelligence permettrait de comprendre à demi-mot les intentions de son interlocuteur. On peut finir la phrase qu’il a commencé. Cela facilite l’écoute, l’empathie. Rien d’autre.
C’est plutôt une capacité à entrer dans l’univers d’autrui, plutôt qu’une intelligence.
L’intelligence spirituelle n’est pas du tout abordée.
Voici la liste de produits toxiques et incompréhensible de part sa fabrication… comment peut on avoir eu l’idée de ce cocktail soupoudré de cellules de fœtus avortés
Carol Devarieux : « J’ai rassemblé tous les ingrédients des vaccins dans une liste et j’ai contacté le service antipoison. Après les présentations et autres, et en demandant à parler avec quelqu’un de permanent et de bien informé, voici l’essentiel de cette conversation. Moi : Ma question est la suivante : comment ces ingrédients sont-ils catégorisés ? Comme bénins ou comme poison ? (J’ai analysé quelques ingrédients, le formaldéhyde, le Tween 80, le mercure, l’aluminium, le phénoxyéthanol, le phosphate de potassium, le phosphate de sodium, le sorbitol, etc.) Lui : Eh bien, c’est une sacrée liste… Mais je devrais facilement dire qu’ils sont tous toxiques pour l’homme… Utilisés dans les engrais… Les pesticides… Pour arrêter le cœur… Pour préserver un corps mort… Ils sont enregistrés chez nous dans différentes catégories, mais ce sont surtout des poisons. Pourquoi ? Moi : Si je devais délibérément nourrir ou injecter à mon enfant ces ingrédients souvent, comme un calendrier, évidemment je mettrais ma fille en danger… Mais que m’arriverait-il légalement ? Lui : Question étrange… Mais vous seriez probablement accusé de négligence criminelle… peut-être avec l’intention de tuer… et bien sûr d’abus d’enfant… Votre enfant vous serait enlevé… Connaissez-vous quelqu’un qui fait ça à son enfant ? C’est un acte criminel… Moi : Une industrie… Ce sont les ingrédients utilisés dans les vaccins… Avec des agents liants pour s’assurer que le corps ne les éliminera pas… Pour maintenir indéfiniment les niveaux d’anticorps… Lui : QUOI ?! Votre conclusion ? L’homme était hors de lui. Il m’a demandé si je pouvais lui envoyer toutes ces informations par e-mail. Il voulait les partager avec ses enfants adultes qui sont des parents. Il était horrifié et se sentait mal de ne pas savoir… ses enfants sont vaccinés et ils ont des problèmes de santé… » ~ Par Iris Figueroa INGREDIENTS VACCINS – On ne peut pas prendre une décision éclairée sans être éduqué. Voici juste QUELQUES ingrédients de vaccins. Ils sont injectés à vos enfants ; Formaldehyde/Formalin – Poison systématique hautement toxique et cancérigène. Betapropiolactone – Produit chimique toxique et cancérigène. Peut causer la mort ou des blessures permanentes après une très courte exposition à de petites quantités. Produit chimique
« La maladie la plus utilisée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite.
Par coïncidence, il s’agit également du plus grand mensonge et de la plus grande escroquerie médicale de tous les temps.
Les toxines à l’origine de la « polio » sont bien documentées.
La polio est le virus qui n’a jamais existé.
1824 : Les ouvriers métallurgistes ont souffert pendant des siècles d’une paralysie semblable à la polio, causée par le plomb et l’arsenic contenus dans les métaux avec lesquels ils travaillaient. Le scientifique anglais John Cooke observe : Les émanations de ces métaux, ou leur absorption en solution dans l’estomac, provoquent souvent la paralysie.
1890 : Un pesticide à base d’arséniate de plomb commence à être pulvérisé aux États-Unis jusqu’à 12 fois chaque été pour tuer le carpocapse des pommes.
1892 : Des épidémies de poliomyélite apparaissent dans le Vermont, région productrice de pommes. Dans son rapport, l’inspecteur du gouvernement, le Dr Charles Caverly, note que les parents signalent que certains enfants tombent malades après avoir mangé des fruits. Il déclare que « la paralysie infantile survient généralement dans les familles comptant plus d’un enfant, et comme aucun effort n’a été fait pour l’isoler, il est très probable qu’elle n’est pas contagieuse » (un seul enfant de la famille ayant été touché).
1907 : L’arséniate de calcium est utilisé principalement sur les cultures de coton.
1908 : Dans une ville du Massachusetts comptant trois filatures de coton et des vergers de pommiers, 69 enfants tombent subitement malades, atteints de paralysie infantile.
1909 : Le Royaume-Uni interdit les importations de pommes en provenance des États-Unis en raison de la présence d’importants résidus d’arséniate de plomb.
1921 : Franklin D. Roosevelt contracte la polio après s’être baigné dans la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick. La toxicité de l’eau pourrait être due à la pollution des eaux de ruissellement.
1943 : Introduction du DDT, un pesticide neurotoxique. Au cours des années suivantes, son utilisation se généralise dans les foyers américains. Par exemple, du papier peint imprégné de DDT est placé dans les chambres d’enfants.
1943 : Une épidémie de polio dans la ville britannique de Broadstairs, dans le Kent, est liée à une laiterie locale où les vaches étaient lavées au DDT.
1944 : Albert Sabin signale que la poliomyélite est l’une des principales causes de maladie et de décès des troupes américaines basées aux Philippines. Les camps militaires américains ont été pulvérisés quotidiennement avec du DDT pour tuer les moustiques. Les colonies philippines voisines ne sont pas touchées.
1944 : Le NIH rapporte que le DDT endommage les mêmes cellules de la corne antérieure que celles qui sont endommagées dans la paralysie infantile.
1946 : Gebhaedt montre qu’il existe une corrélation entre la saisonnalité de la polio et la récolte des fruits.
1949 : Le Dr Morton Biskind, endocrinologue, praticien et chercheur en médecine, constate que le DDT provoque des « lésions de la moelle épinière similaires à celles de la polio humaine ».
1950 : Le directeur médical de l’hygiène industrielle de la santé publique américaine, J.G. Townsend, note la similitude entrel’empoisonnement au parathion et la polio et pense que certaines polio pourraient être causées par la consommation de fruits ou de légumes contenant des résidus de parathion.
1951 : Le Dr Biskind traite ses patients atteints de poliomyélite comme des victimes d’empoisonnement, en éliminant les toxines de l’alimentation et de l’environnement, en particulier le lait et le beurre contaminés par le DDT. Le Dr Biskind écrit : « Bien que les jeunes animaux soient plus sensibles aux effets du DDT que les adultes, il ne semble pas, d’après la littérature disponible, que les effets de telles concentrations sur les nourrissons et les enfants aient même été pris en compte ».
1949-1951 : D’autres médecins rapportent qu’ils réussissent à traiter la polio avec des anti-toxines utilisées pour traiter les empoisonnements, le dimercaprol et l’acide ascorbique. Exemple : Le Dr F. R. Klenner rapporte : Lors de l’épidémie de poliomyélite en Caroline du Nord en 1948, 60 cas de cette maladie ont été pris en charge par nos soins… Le traitement consistait à administrer des doses massives de vitamine C toutes les deux à quatre heures. Les enfants de moins de quatre ans ont reçu une injection de vitamine C par voie intramusculaire… Tous les patients étaient cliniquement bien portants au bout de 72 heures ».
1950 : Le Dr Biskind présente au Congrès américain des preuves que les pesticides sont la principale cause des épidémies de poliomyélite. Il est rejoint par le Dr Ralph Scobey qui a déclaré avoir trouvé des preuves évidentes d’empoisonnement en analysant les traces chimiques dans le sang des victimes de la polio. Commentaire : Il s’agit d’un non. La théorie de la causalité virale ne devait pas être remise en question. La carrière d’éminents virologues et d’autorités sanitaires était menacée. Les idées de Biskind et Scobey ont été ridiculisées.
La Polio Concernant la polio, l’historien David Oshinsky dans son livre « Polio, an American Story », raconte que le 12 avril 1955, le professeur Jonas Salk annonce à la télévision, la création du vaccin contre la polio ! Les familles se précipitent dans les centres de vaccination. Quelques semaines plus tard, la télévision et les journaux annoncent la contamination de 40.000 enfants vaccinés souffrant d’effets secondaires inconnus, 51 sont paralysés, 11 sont décédés. En 1958, le professeur de médecine Joshua Lederberg, prix Nobel en 58, dénonce « l’absence d’études sur l’impact de la vaccination dans l’organisme récepteur ». Pour ce professeur, il n’était pas acceptable d’exposer à des effets secondaires indéterminables des personnes en bonne santé et dont 99% d’entre elles élimineraient naturellement le virus si elles étaient hypothétiquement contaminées !
Dans la France ruinée par la guerre, les conditions de vie se sont dégradées : on comptait plus de 100.000 personnes dans les bidonvilles de Nanterre, de Saint-Ouen, de Noisy-le- Grand, et plus de 2000 sans abri dans Paris, comme le dénonçait l’Abbé Pierre le 1er février 1954. En 1957 la polio éclate en France à cause de ces conditions désastreuses de l’hygiène : on compte alors plus de 4000 contaminés. Une politique de relogement est engagée, le combat acharné de l’Abbé Pierre sort peu à peu de la misère bon nombre de « Sans-abri ». La polio disparaît presque complètement en 1960. Le vaccin contre la polio devient obligatoire en 1964. L’Institut Pasteur déclare pourtant lui-même que la transmission du virus de la polio se fait par l’intermédiaire des eaux souillées, des aérosols et des aliments contaminés par les selles. Puisque la voie fécale est la principale cause de contamination, il convient de prendre des mesures de prévention par une campagne d’information sur les règles fondamentales de l’hygiène !
On se demande donc pourquoi rendre alors obligatoire le vaccin, quand on sait que ce n’est pas le vaccin qui va éradiquer le problème mais l’hygiène ?
La théorie virale est un mensonge qui a pour but de jouer sur vos peurs pour mieux vous asservir.
L’industrie pharmaco-chimique et ces relais du corps médical sont un bras armé du pouvoir, leur objectif est de capturer votre consentement par une guerre psychologique. En 2006, Raoult le panoramix Kasher, nous préparez déjà mentalement a accepter le contrôle par la peur d’une pandémie, en s’appuyant sur la grippe espagnole. Qui est en fait un mensonge absolue, puisque aucun virus n’a été isolé !
La grippe espagnole est la résultante des dommages psychologiques et sanitaires de la guerre, couplés à l’expérience vaccinale sous les ordres de la famille Rockefeller. Vous n’êtes pas malade, on vous empoisonnent. Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bio-électroniques du terrain. Les cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie.
Voici, en langage technique, un extrait de la citation clé de Fauci (à partir de 4 minutes environ) : « …Si vous obtenez [effectuez le test à] un seuil de cycle de 35 ou plus…les chances qu’il soit compétent pour la réplication [c’est-à-dire précis] sont minuscules…vous ne pouvez presque jamais cultiver le virus [détecter un vrai résultat positif] à partir d’un cycle de seuil 37…même 36… ». Chaque « cycle » du test est un saut quantique dans l’amplification et le grossissement de l’échantillon prélevé sur le patient. Si le nombre de cycles est trop élevé, le test révélera toutes sortes d’éléments non pertinents qui seront interprétés à tort comme pertinents. C’est ce qu’on appelle un faux positif. Ce que Fauci a omis de dire dans la vidéo, c’est que la FDA, qui autorise le test pour un usage public, recommande que le test soit effectué jusqu’à 40 cycles. Pas 35. Par conséquent, tous les laboratoires américains qui suivent les directives de la FDA participent sciemment ou non à une fraude.
Une fraude à un niveau monstrueux, parce que…
Des millions d’Américains se font dire qu’ils sont infectés par le virus sur la base d’un résultat faussement positif, et… Le nombre total de cas de COVID en Amérique – qui est basé sur le test – est une fausseté flagrante. Les mesures de confinement et autres mesures restrictives sont basées sur ces chiffres frauduleux. Laissez-moi revenir en arrière et vous le répéter. Fauci dit que le test est inutile quand il est effectué à 35 cycles ou plus. La FDA dit de faire le test jusqu’à 40 cycles, afin de déterminer si le virus est là. C’est le crime en résumé.
MYTHE DE LA VACCINATION:
« La poliomyélite était L’UNE DES GRANDES RÉUSSITES DE LA VACCINATION » …
ÉTAIT-CE bien LE CAS ?
Six États de la Nouvelle-Angleterre ont signalé une augmentation du nombre de cas de polio un an après l’introduction du vaccin Salk, allant de plus du double dans le Vermont à l’augmentation stupéfiante de 642 % dans le Massachusetts.
En 1959, 77,5 % des cas paralytiques du Massachusetts avaient reçu trois doses de VPI (vaccin antipoliomyélitique injecté).
Lors des auditions du Congrès américain en 1962, le Dr Bernard Greenberg, chef du département de biostatistique de l’école de santé publique de l’université de Caroline du Nord, a déclaré que non seulement les cas de polio avaient considérablement augmenté après les vaccinations obligatoires (augmentation de 50 % entre 1957 et 1958, augmentation de 80 % entre 1958 et 1959), mais que les statistiques avaient été manipulées par le service de santé publique pour donner l’impression contraire[39].
[Selon le Dr Viera Scheibner, chercheur et auteur, 90 % des cas de polio ont été éliminés des statistiques grâce à la redéfinition par les autorités sanitaires de la maladie survenue au moment de l’introduction du vaccin, alors qu’en réalité le vaccin Salk continuait à provoquer des cas de polio paralytique dans plusieurs pays à l’époque où il n’y avait pas d’épidémies causées par « le virus » sauvage (des milliers de cas de méningite virale et aseptique sont diagnostiqués chaque année aux États-Unis ; avant l’introduction du vaccin antipoliomyélitique, ces cas étaient diagnostiqués comme étant des cas de polio).
En 1985, le CDC a déclaré que 87 % des cas de polio aux États-Unis entre 1973 et 1983 avaient été causés par le vaccin, et a déclaré plus tard que tous les cas importés depuis, à l’exception de quelques uns, avaient été causés par le vaccin (et la plupart des cas importés sont survenus chez des personnes totalement immunisées).
Jonas Salk, inventeur du VPI, a déclaré devant une sous-commission du Sénat que la quasi-totalité des cas de poliomyélite étaient dus au vaccin et que la quasi-totalité des épidémies de poliomyélite survenues depuis 1961 étaient dues au vaccin antipoliomyélitique oral.
Lors d’un atelier sur les vaccins antipoliomyélitiques parrainé par l’Institute of Medicine et les Centres for Disease Control and Prevention, le Dr Samuel Katz, de l’université Duke, a cité les 8 à 10 cas annuels estimés de poliomyélite paralytique associée à un vaccin (PPAV) aux États-Unis chez des personnes ayant reçu le vaccin antipoliomyélitique oral, et l’absence [depuis quatre ans] de poliomyélite sauvage dans l’hémisphère occidental.
Jessica Scheer, du National Rehabilitation Hospital Research Centre de Washington, a souligné que la plupart des parents ignorent que la vaccination contre la polio dans ce pays entraîne « un petit nombre de sacrifices humains chaque année ».
Cette contradiction est aggravée par le faible taux de notification des effets indésirables et par l’expérience du NVIC en matière de confirmation et de correction des diagnostics erronés de réactions vaccinales, qui suggèrent que le nombre réel de « sacrifices » liés à la PPAV pourrait être bien plus élevé que le chiffre cité par le CDC.
VÉRITÉ VACCINALE n° 6 : « Les vaccins ont provoqué une augmentation substantielle du nombre de cas de polio après des années de baisse constante, et ils sont la seule cause de la polio aux États-Unis aujourd’hui. (Texte adapté de Vaccination Roulette96607:46
FAUSSE pandémie de grippe espagnole ,
expérience de Rosenau 1918-1919!
Les études épidémiologiques les plus intéressantes menées au cours de la pandémie de 1918-1919 sont sans doute les expériences sur l’homme réalisées par le Service de santé publique et la marine américaine sous la supervision de Milton Rosenau sur les îles de Gallops , la station de quarantaine du port de Boston, et sur Angel Island, son homologue à San Francisco.
L’expérience a commencé avec 100 volontaires de la marine qui n’avaient pas d’antécédents de grippe espagnole.
Rosenau a été le premier à rendre compte des expériences menées sur ces îles en novembre et décembre 1918.
Ses premiers volontaires ont reçu d’abord une souche, puis plusieurs souches du bacille de Pfeiffer par pulvérisation et écouvillonnage dans le nez et la gorge, puis dans les yeux.
Wouaw!!! , en 2022 on attend tj le même type d’expériences?
Lorsque cette procédure n’a pas produit de maladie, d’autres volontaires ont été inoculés avec des mélanges d’autres organismes isolés de la gorge et du nez de patients atteints de la grippe.
Ensuite, certains volontaires ont reçu des injections de sang provenant de patients atteints de la grippe.
Non pas ca? C’est trop dure à reproduire en 2022?
Enfin, 13 des volontaires ont été emmenés dans un service de grippe et exposés chacun à 10 patients grippés. Chaque volontaire devait serrer la main de chaque patient, lui parler de près et lui permettre de tousser directement dans son visage.
Aucun des volontaires participant à ces expériences n’a contracté la grippe dite espagnole par la suite.
Les recherches menées à Angel Island et qui se sont poursuivies au début de 1919 à Boston ont élargi cette recherche en inoculant le streptocoque de Mathers et en incluant une recherche d’agents filtrants, mais elles ont donné des résultats négatifs similaires.
Merde zut, la contagion ça marche pas, quand t’utilises pas la fraude PCR promu par…
Bizarre allo les experts des plateaux tv.. mais vous nous mentez?
Fucking checkez par vous même? sans passer par la case lemonde.caca.fr.lesamisàSoros
Perhaps the most interesting epidemiological studies conducted during the 1918-1919 pandemic were the human experiments conducted by Milton Rosenau.
L’ensembles des vaxxins sont probablement la principale cause de maladies depuis plus d’un siècle ! En 1979, l’OMS et le CDC ont repensé la liste de codage de la Classification internationale des maladies et supprimé toute possibilité pour les coroners du monde d’étiqueter une cause de décès liée à la vaccination. Un coroner n’a pas de code à entrer s’il croit que quelqu’un est mort d’un vaccin. Depuis plus de cinquante ans, l’OMS et les CDC obligent les médecins légistes à mal étiqueter les décès par vaccination. Au-delà du fait qu’il s’agit probablement d’un crime, cette suppression signifie que le « consentement éclairé » est totalement corrompu depuis des décennies. Contrairement à ce qu’on nous a fait croire, la vaccination n’est sans danger ni pour nos enfants, ni pour nous. De mauvais protocoles de vaccination sont probablement la première cause de maladies depuis plus d’un siècle. Marc Girardot a été inspiré pour écrire l’article suivant après avoir lu un article de Neil Miller dans lequel il notait : Les décès de nourrissons après la vaccination sont souvent classés à tort comme le syndrome de mort subite du nourrisson (« SMSN ») ou la suffocation au lit. De tous les cas de SMSN signalés après la vaccination, 75% sont survenus dans les 7 jours Lire la suite : Vaccins et mort subite du nourrisson : analyse de la base de données VAERS 1990-2019 et revue de la littérature médicale par Neil Z.Miller, Toxicology Reports, Volume 8, 2021
C est fou de voir le peu de connaissance et de remise en question de certaines sociétés « savantes » qui persistent dans le déni malgré un nombre croissant d études et de retour d expérience négatif .. sont ils aveugles et sourds les jusqu’au-boutistes?
Dans un monde où les erreurs médicales font partie du top des causes de décès…renseignez-vous. Notre santé est NOTRE responsabilité.
AMÉLIORE LA SANTÉ CARDIOVASCULAIRE Les flavonoïdes, un type d’antioxydant contenu dans le thé noir peut prévenir plusieurs problèmes cardiovasculaires..
ÉLIMINE LES RADICAUX LIBRES Les radicaux libres sont des molécules d’oxygène instables qui se promènent librement dans notre organisme..
AIDE À AVOIR UNE MEILLEURE SANTÉ BUCCODENTAIRE Cette forme d’antioxydant agit aussi comme antibiotique et élimine les mauvaises bactéries de la bouche..
RENFORCE LES OS Le thé noir tend à avoir plus de composantes phyto-chimiques grâce à son processus de fabrication, ce qui aide à renforcer les os et à augmenter leur masse..
Mais aussi STIMULE LE CERVEAU ET LE SYSTÈME NERVEUX SANS LA FATIGUE ASSOCIÉE, AIDE À LA PERTE DE POIDS..
On vaccine nos enfants, ce qui créé l’autisme qui atteint des proportions très inquiétante. Plus un pays vaccine, plus l’autisme explose. En comparaison des communautés comme les Amish n’autorisant pas les vaccins ne voient pas d’autisme. Mais bien sûr les mêmes corrompus menteurs que pour le Covid disent que c’est faux. Maintenant ils se frottent les mains pour vendre des médicaments contre l’autisme. On dirait un sketch des Guignols, mais non c’est la réalité et c’est nos enfants qu’ils sacrifient.
D’après l’INSEE, en 2022, 673 637 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 27 janvier 2023, soit 9,8 % de plus qu’en 2019 (+ 60 181 décès). Ce nombre est toutefois encore provisoire. C’est un record absolu. insee.fr/fr/statistique…
Compter les décès et constater une surmortalité, c’est une chose, mais savoir qui meurt, c’en est une autre. Sur Euromomo, le site qui publie la surmortalité dans 28 pays européens, on constate une surmortalité notamment chez les plus jeunes et les plus âgés
Grâce aux chiffres publiés par l’INSEE, la structure de la population par âge donnée par le fichier Vacsi, et le site de @mac_koi qui a publié des tableaux des taux de mortalité, nous allons calculer les évolutions des taux de mortalité de 2022 par rapport aux années antérieures. .. Pour calculer un taux de mortalité, on prend le nombre de morts d’une population, on divise par le nombre de personnes dans ladite population, et on multiplie par 100 000. En 2018, il y a un taux de mortalité de 910.46/100 000 en France, mais 992.9/100 000 en 2022 = surmortalité.
Utiliser les taux de mortalité permet de comparer d’une année sur l’autre, nonobstant le nombre de personnes dans la population. Ainsi, on voit clairement une augmentation du taux de mortalité en année 2020 (Covid), un peu moins en année 2021, et à nouveau en 2022.
Pour connaître l’augmentation, on utilise la formule du taux de variation Ainsi dans notre exemple, quand le taux de mortalité passe de 911.24 à 992.9, il subit une augmentation de (992.9 – 911.24) / 911.24 x 100 = 8,96%
On sait donc qu’en France, le taux de mortalité toutes causes et tous âges est 8,96% plus élevé en 2022 qu’avant la pandémie de Covid-19. J’en ai fini avec la vulgarisation des calculs. Maintenant passons à la démonstration
Zoomons sur la tranche d’âge des 5–9 ans. On remarque que le Covid-19 n’a pas eu d’incidence sur cette tranche d’âge : on peut donc faire une moyenne des taux de 2018 à 2021 = le taux de référence. En comparant le taux de référence à 2022, on trouve une augmentation de 22,14% !!!
Ce sont donc les petites filles qui meurent « trop » en 2022. Et voici le tableau : 8,13/100 000 en 2022 contre 6,095 en années de référence. Soit 33,39% d’augmentation !!! Remarquez que les années pandémies sont en sous-mortalité. QUE S’EST-IL PASSÉ EN 2022 ???
Explications : d’habitude, il meurt environ 6 petites filles pour 100 000 en France (moyenne de 2018 à 2021). Mais en 2022, ce sont 8,13 petites filles pour 100 000. (En 2021, à 8.13, il y aurait 52 fillettes décédées en +). De quoi décède-t-on quand on a entre 5 et 9 ans ???
Je ne fais pas la démonstration pour toutes les classes d’âges – j’ai 45 tableaux – mais les calculs suivent tous la même méthode. J’ai donc scindé la population en deux groupes : ceux dont le taux de mortalité n’a pas augmenté pendant la pandémie et ceux qui ont été touchés.
L’âge charnière est 60 ans. Avant 60 ans : pas d’incidence. Après 60 ans : surmortalité. Et regardez bien ce qui va suivre, car c’est hallucinant
Voici le tableau des taux de mortalité par âge, de 0 à 59 ans. Les moins de 40 ans sont TOUS SANS EXCEPTION en surmortalité. Ce sont surtout les petites filles et les femmes qui meurent en surnombre, sauf chez les garçons de 10–11 ans. Idem chez les tout petits, de 0 à 4 ans
A partir de 40 ans, on observe une légère sous-mortalité, qui s’accroît vers 50 ans. Je rappelle que ces tranches d’âge ne sont PAS impactées par le Covid. Ex. ici avec les taux de mortalité des 40–49 ans : on voit que les années pandémie ont les mêmes taux que les précédentes.
QUESTION : Qu’est-ce qui fait mourir en surnombre les plus jeunes d’entre nous ? Les nourrissons, les enfants, les ados, et surtout les filles et les femmes, notamment celles en âge de procréer ???
Regardons maintenant ce qui se passe chez les plus de 60 ans. Ceux-là ont un taux de mortalité qui a augmenté avec la pandémie. Voici le tableau
Incontestablement, ce sont encore les femmes qui sont en surmortalité supérieure par rapport aux hommes !!!
On remarque aussi que 2022 est globalement plus meurtrière que les années pandémie dans ces classes d’âges : la canicule, le pic de grippe, et les multiples doses du sérum expérimental ont sans doute eu raison de nos anciens, les plus injectés d’après le Ministère de la Santé :
On remarque aussi dans ce tableau que la pandémie de Covid-19 a certes augmenté la mortalité, notamment chez les plus âgés endormis au Rivotril au lieu d’être soignés (+9.08% du taux de mortalité chez les + de 80 ans en 2020), mais elle n’a pas non plus été l’hécatombe annoncée.
En conclusion, vous avez ici tous les chiffres pour vous poser les bonnes questions : Pourquoi les plus jeunes sont en surmortalité alors qu’ils ne meurent ni du Covid, ni de la canicule, ni de la grippe ? Pourquoi davantage les fillettes, les jeunes femmes et les femmes ?…
Pourquoi n’y a-t-il pas d’effet moisson chez les plus âgés ? Et pourquoi la mortalité reste-t-elle si élevée en France et plus globalement en Europe ?
Partagez au plus grand nombre : le taux de mortalité augmente de +33.39% chez les fillettes de 5-9 ans, +32,38% chez les garçons de 10-11 ans, +19,46% chez les jeunes enfants de 0-4 ans, +19.10% chez les ados filles de 12-17 ans, +16.02% chez les jeunes filles de 18-24 ans !!!
IL FAUT UNE ENQUETE, ET VITE ! Toutes les causes sont envisageables, et pas seulement celle à laquelle on pense en premier. Il faut investiguer.
Interpelez vos élus, proches, connaissances : il se passe quelque chose et personne ne semble s’en inquiéter ! En tout cas, le grand public est mis à l’écart de ces informations cruciales. Partagez sur vos réseaux, dans vos groupes, Telegram, TikTok, Facebook. Ca doit circuler !!
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L’Institut national de la statistique et des études économiques collecte, produit, analyse et diffuse des informations sur l’économie et la société françaises
Notre but est atteint, comme la tarte du même nom » (Geluck) – »Nous le savons et pas seulement de Marseille » (Desproges) – »Demandez nos exquis mots » (Delbourg) – »Ce système n’est pas rentable quand le bénéficiaire vit âgé » – »De deux choses lune, l’autre c’est le soleil » (Prévert) – »Pourquoi vouloir mettre une femme dans son lit si on ne sait pas comment la border ? » – »Pas de chauve à Ajaccio, mais à Calvi si ! » – »On n’a jamais vu de camion si terne » – »Quand on veut faire l’amour, c’est entre adultes qu’on s’entend » – »Des musiques comme celles-là, on n’en a jamais entendu des si belles » » – »Ce touareg a des airs de chameau » – »Les mots rendent les cris vains » – »Paradoxalement, pour être dans les normes, il faut rester mince » – »Trop manger est un péché, c’est en tout cas ce que beaucoup de gourmands disent » – »On ne peut pas dire que ce roman de Tolstoï ne soit guère épais » – »Que fait Johnny le midi ? L’idole déjeune » – »La politique est louche car l’élu net n’existe pas » – »Les bricoleurs du dimanche en ont marre tôt » – »Le poisson qui me bouffera est pas né ! » (De Kersauson) – »Un sale ami mérite d’être charcuté
Une femme commence une partie de golf. Elle frappe sa balle et voit celle-ci heurter un homme qui joue son parcours pas loin d’elle. Elle le voit mettre immédiatement ses mains serrées entre ses deux jambes et tomber au sol. Elle se presse d’aller le voir. Il est tordu de douleur au sol dans la position fœtale. Elle lui demande pardon et lui explique ensuite qu’elle est infirmiere et qu’elle sait qu’elle pourrait diminuer sa douleur s’il la laissait faire. – Ooooh… Nnooon… Non… Ce n’est pas nécessaire, tout va aller pour le mieux tout à l’heure dit-il avec le souffle court. Mais elle insiste pour lui faire un traitement et finalement il se laisse faire. Gentiment, elle lui enlève les mains d’entre les jambes, ouvre son pantalon et place ses mains à l’intérieur en le massant délicatement… Après quelques minutes, elle lui demande : – Comment vous sentez-vous ? – Ça fait du bien, mais j’ai toujours mal au pouce !!!