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Découverte d’un traitement révolutionnaire pour les diabétiques


Si vous souffrez de diabète ou de prédiabète, vous prenez peut-être de la metformine.

C’est le médicament prescrit en priorité aux diabétiques de type 2 pour diminuer leur résistance à l’insuline1.

Pourtant, une récente découverte faite par les chercheurs chinois de l’Université de Wuhan pourrait transformer la vie de millions de diabétiques.

En menant une analyse sur 14 essais cliniques et 1’068 diabétiques de type 2, ces scientifiques ont découvert qu’une simple substance végétale serait aussi puissante que la metformine2.

A raison de 500mg trois fois par jour, l’extrait de cette plante épineuse aiderait à :

  1. Réduire la production de glucose dans le foie
  2. Améliorer la sensibilité à l’insuline
  3. Stimuler l’absorption du glucose sanguin par les cellules
  4. Diminuer le taux de sucre dans le sang

Avec des résultats au moins égaux à ceux de la metformine, ce remède naturel serait ENFIN UNE ALTERNATIVE SOLIDE au traitement officiel.

C’est un formidable espoir pour tous les malades du diabète de type 2.Car, contrairement à la metformine, ce traitement naturel n’aurait pas d’effet secondaire.

Si vous êtes sous metformine, vous pourriez vous attendre à souffrir :

  • De graves troubles gastro-intestinaux (crampes d’estomac, vomissements, diarrhée)3 comme pour la moitié des patients suivant ce traitement.
  • D’une carence en vitamine B9 et B12 augmentant le risque d’infarctus et d’AVC.4
  • Du risque (rare mais bien réel !) de déclencher une acidose lactique5, une maladie mortelle due à la sous-oxygénation des cellules.
  • D’une chute du niveau de testostérone6 si vous êtes un homme, ruinant votre virilité et votre vie intime.
  • De dégâts sur la thyroïde suite à une baisse possible du taux de TSH (l’hormone thyroïdienne) chez les personnes souffrant déjà d’hypothyroïdie.7

A l’inverse, tenez-vous bien, le seul effet secondaire de cette substance naturelle serait de… trop faire baisser votre glucose sanguin ! Cela pourrait arriver si vous preniez ce traitement naturel en même temps que de la metformine.

Malgré de tels bienfaits, il faut regarder la vérité EN FACE : il y a peu de chances que votre médecin vous en parle.Je suis même prête à parier que cela n’arrivera pas.

Cela fait 40 ans qu’en France, on prescrit de la metformine, sous le nom de glucophage, aux diabétiques de type 28.

Je vous ai parlé du diabète. Mais ce que je m’apprête à vous révéler vous concerne aussi si vous souffrez de douleurs articulaires, d’ostéoporose, de la maladie d’Alzheimer, d’hypertension, de problèmes de prostate…

En tant que patient, vous continuez d’être tenu à l’écart des dernières avancées de la médecine par les plantes.Depuis quelques années, la recherche sur les plantes médicinales est pourtant en pleine ébullition:

  • Une étude menée en 20149 a révélé que la consommation quotidienne d’ail réduirait la tension artérielle autant qu’un traitement hypertenseur. voir les bienfaits de l’ail
  • Le safran réduirait le déclin cognitif chez les malades atteint de la maladie d’Alzheimer en stade léger à modéré10.
  • Chez les hommes souffrant d’hypertrophie de la prostate, une supplémentation de 6 mois avec un extrait de palmier nain permettrait d’augmenter de 70% le flux urinaire11.
  • L’extrait normalisé de feuilles de ginkgo bilboa permettrait de ralentir la détérioration de la vue chez les patients souffrant de glaucome.12
  • Vous le voyez, il s’agit de remèdes simples, peu coûteux et faciles à trouver. Vous pourriez vous les procurer en pharmacie ou même en magasin bio, sans avoir à présenter une ordonnance.

Prenez le cas de cette substance végétale active contre le diabète de type 2.Depuis la découverte faite par les chercheurs chinois, de nombreuses autres recherches sont venues confirmer son impact non seulement sur le diabète mais aussi sur :

  • La perte de poids, en particulier chez les personnes obèses13;
  • La réduction du cholestérol et des triglycérides dans le sang avec une efficacité supérieure à la metformine14;
  • Le ralentissement de la progression du cancer de la prostate grâce à une action sur les récepteurs à la testostérone15.

On fait comme s’il n’existait pas d’autre traitement que la metformine.Et il en va de même pour :

  • Les statines prescrites pour baisser le taux de cholestérol alors que tous les essais cliniques ont montré leur inefficacité sur la prévention des infarctus et des AVC16. En revanche, on sait que les statines augmentent les risques de diabète17, mais aussi de glaucome, de dysfonctionnement des reins et du foie18!
  • Une étude franco-britannique19 vient de confirmer les effets secondaires de la nouvelle formule du Levothyrox (fatigue, douleurs, troubles de la concentration, pertes de cheveux), imposée aux patients souffrant d’hypothyroïdie.
  • Les anti-inflammatoires utilisés pour calmer les douleurs articulaires augmenteraient le risque de crise cardiaque de 48% en seulement quelques jours, d’après une étude scientifique publiée en mai 2017 dans le British Medical Journal20.
  • Il s’écoule 80 millions de boîtes de médicaments anti-acide chaque année en France21 alors que, sur le long-terme, ce traitement multiplierait par trois le risque de cancer de l’estomac22.
  • L’ordonnance classique contre l’hypertension comprend très souvent des diurétiques: ils visent à diminuer le volume de liquide dans le corps et donc à réduire la pression sanguine. Mais, en même temps, ils chassent le potassium et le magnésium de l’organisme, absolument indispensables à la régulation de la tension artérielle23.
  • Pour chacune de ces maladies, il existe pourtant des alternatives naturelles qui ont fait leur preuve.

Ils ne peuvent pas être brevetés par l’industrie pharmaceutique. Impossible pour Big Pharma de vous les faire payer à prix d’or. Vous pouvez même les trouver directement dans la nature ou les mettre dans votre assiette !

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Cette habitude tue vos yeux à petit feu 

Depuis des années, les experts nous affirment qu’il n’y a rien à faire contre les maladies de l’œil comme la cataracte, le glaucome ou la DMLA (la dégénérescence maculaire liée à l’âge) : en vieillissant, vous seriez condamné à développer l’une de ces maladies handicapantes.

Le risque serait encore plus important si vous avez des antécédents familiaux, si vous fumez ou si vous êtes diabétique.

Vous seriez réduit à assister, impuissant, à votre propre descente aux enfers : diminution du champ de vision, perte progressive de la vue et, dans les cas les plus graves, cécité totale.

Mais ils se trompent.

En supprimant une simple habitude quotidienne, vous pourriez peut-être éviter la maladie et même espérer la stopper. Sans le savoir, vous faites peut-être en ce moment le contraire de ce qu’il faudrait.

Et tout ça se passe… dans votre assiette !

Une étude américaine32 vient de révéler qu’une habitude de consommation répandue dans les pays occidentalisés ruinerait la santé de nos yeux.

En supprimant certains aliments de vos repas, vous pourriez stopper les dommages causés sur la rétine. Mais votre ophtalmologue vous en a-t-il déjà parlé ?

Nous vous disons tout dans le chapitre Les plantes au secours de vos yeux.Et notre expert vous donne aussi son « kit de survie pour les yeux » avec les plantes utiles en cas de conjonctivite, orgelet mais aussi pour des maladies plus graves comme la DMLA ou la cataracte.

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Cancer : ce qu’ils ne vous disent pas

Dès qu’on parle solutions naturelles face au cancer, tout le système médical se met à crier au loup.

On s’inquiète que les patients renoncent aux traitements conventionnels pour se soigner uniquement avec de la « poudre de perlimpinpin ». A force de détourner le regard, les médecins privent pourtant les malades de solutions de soutien incomparables comme :

  • Le top 5 des aliments protecteurs : certains agissent en affamant la tumeur car ils bloqueraient l’angiogenèse, c’est-à-dire l’afflux de sang nourricier vers les cellules cancéreuses.
  • En cas de radiothérapie, l’huile essentielle de niaouli aide à protéger votre peau de graves brûlures. Et juste après la séance, appliquez cette huile solaire sur la zone irradiée pour aider à réparer la peau.
  • Certains champignons aident à soutenir l’immunité. C’est le cas du maiitaké, du shiitaké et du reishi. Des chercheurs néozélandais ont prouvé qu’à partir de 5gr par jour, la supplémentation en reishi permettrait d’augmenter de 50% le niveau de nos cellules naturelles tueuses, chargées d’attaquer les cellules tumorales ou infectées.30 31
  • Si vous devez subir une chimiothérapie, il est indispensable de protéger votre foie et de l’aider à se débarrasser des toxines. Pour cela, donnez la priorité au desmodium, la plante qui soulagent les foies intoxiqués par les médicaments.

Vous découvrirez toutes les posologies exactes et les autres solutions oubliées par notre système médical dans le chapitre Mieux s’armer contre le cancer.Vous allez voir que, face au cancer, vous pouvez mettre en place un véritable plan de bataille et espérer :

  • Retrouver l’énergie qu’il vous manquait pour vous battre contre la maladie ;
  • Purifier votre corps des toxines accumulées avec les traitements ;
  • Vous libérer du stress et de l’anxiété qui entravent la guérison ;
  • Booster votre système immunitaire pour l’aider à tuer les cellules cancéreuses ;
  • Arrêter de nourrir le cancer en changeant vos habitudes alimentaires.
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6 Aliments pour un microbiote

“Un grand danger nous menace”

Vos intestins vous empêchent-ils de rester en bonne santé ?

  • Les problèmes digestifs comme la constipation [3], la maladie coeliaque [4], l’hyper-perméabilité intestinale [5], le syndrome du côlon irritable [6], la maladie de Crohn [7] se répandent comme une traînée de poudre.
  • Le système immunitaire se détraque et provoque des maladies inflammatoires [8] et des allergies [9].
  • Les maladies du métabolisme comme le diabète [10], l’hypertension [11] et l’obésité [12] sont de plus en plus fréquentes.
  • Les maladies de peau comme l’acnél’eczémal’herpès et le psoriasis [13] touchent chaque jour de nouvelles personnes.
  • Les maladies infectieuses comme le rhume, la grippe et la gastro-entérite [14] font leur lot de victimes.
  • Et même, le cancer du côlon [15] est en progression.

Presque chaque jour de nouvelles études apportent des preuves supplémentaires qu’il existe un lien entre le développement rapide de ces maladies et l’intérieur de notre intestin [16].

Cette nouvelle génération de maladies “postmodernes” sont comme des épidémies mais ne sont pas contagieuses [17]… Elles viennent souvent de l’intérieur !

Plus précisément de l’appauvrissement de notre microbiote intestinal [18].

Comment savoir si votre microbiote est affaibli ?

L’appauvrissement du microbiote est presque impossible à détecter sans analyses médicales poussées et il est rare de s’en rendre compte avant qu’il ne soit trop tard.

Mais il existe plusieurs signes qui ne trompent pas et vous pourriez les détecter vous-même en vous posant ces simples questions :

 Vous arrive-t-il de vous priver de tel ou tel aliment car vous avez peur des troubles digestifs qui les accompagnent ?

 Vous sentez-vous fatigué sans savoir pourquoi ?

 Vous sentez-vous déprimé ?

 Avez-vous le sentiment de ne pas pourvoir résister à l’envie de manger sucré ?

 Avez-vous remarqué qu’il vous était de plus en plus difficile de perdre du poids ?

 Avez-vous déjà consommé des antibiotiques (même une seule fois) ?

Vous avez répondu « oui » à une ou plusieurs de ces questions ?

Alors il est fort probable que comme 17 millions de Français votre microbiote soit menacé [19].

Les bactéries de votre microbiote intestinal sont indispensables pour vous maintenir en bonne santé et renforcer votre organisme contre la plupart des maladies chroniques. Elles jouent 3 rôles principaux [20] :

  1. Elles bloquent le passage aux substances étrangères, comme les agents pathogènes, les toxines et les allergènes, ce qui diminue votre risque d’infections.
  2. Elles digèrent les aliments et les transforment en nouvelles molécules vitales (vitamines, enzymes [21], acides gras).
  3. Elles éduquent votre système immunitaire à détecter les nouvelles menaces pour vous protéger contre les maladies.

Notre résistance aux maladies serait donc intimement liée à la richesse de notre microbiote.

Les bactéries au service de votre santé

Je vais vous apprendre comment enrichir et fortifier votre microbiote intestinal pour le mettre au service de votre santé.

Avoir un microbiote au top est indispensable pour lutter de manière optimale contre toutes infections. Voici 6 aliments qui le rééquilibreront et vous garantiront ainsi une super immunité.

Situé dans les intestins, le microbiote abrite près de 100 milliards de bonnes bactéries. Leur nombre et leur diversité (400 espèces différentes en moyenne) sont les garants de votre santé et de votre bien-être.

C’est grâce à cette communauté microbienne que votre organisme peut assimiler les nutriments, stimuler le système immunitaire, réguler la glycémie, fabriquer certaines hormones (dont la sérotonine), ou encore vous rendre plus résistant au stress.


 Chouchoutez votre microbiote

Précieux, ce microbiote est tributaire de ce que nous mangeons. il est donc essentiel de manger équilibré.

Plus que jamais, oubliez les aliments transformés (y compris les pains industriels et les céréales raffinées), trop riches en sucre et en mauvaises graisses, pauvres en micronutriments et fibres. Immanquablement, ils vont appauvrir votre microbiote.

En revanche, vous pouvez soutenir cette flore intestinale grâce à une alimentation variée, la moins transformée possible.

Privilégiez les cuissons douces (vapeur, à l’étouffée, basse température) qui respectent au maximum les micronutriments tels que les vitamines, les enzymes et les antioxydants. Et limitez fortement les fritures, le barbecue et autres grillades.

Adoptez également les aliments riches en pré et probiotiques. Ils optimiseront votre microbiote et par conséquent votre immunité.

Concrètement, les prébiotiques (oignons, poireaux, ail, fenouil, asperges, kiwi, chocolat noir…) constituent le terreau qui va nourrir les bonnes bactéries.

Quant aux probiotiques, présents dans les aliments lactofermentés (choucroute, miso de soja, kombucha, pain au levain naturel, yaourt brebis…), ils apporteront de nouvelles souches de bactéries et réensemenceront le microbiote.


6 aliments pour renforcer votre microbiote

1.Le brocoli

Riche en micronutriments (notamment vitamines A, C, E, calcium, magnésium), en antioxydants et en fibres, ce légume crucifère nourrit les bonnes bactéries de votre microbiote.

Intégrez-le dans vos repas et vous bénéficierez de ses autres propriétés : action préventive contre certains cancers (sein, prostate), participation à un l’équilibre acido-basique, soutient à la santé du système nerveux et des os. Quant à son sulforaphane, il protège des radicaux libres et des polluants. De quoi en faire un allié détox.

Vous surveillez votre ligne ? Vous souhaitez perdre du poids ? Le brocoli est un must. Diurétique et dépuratif, il est pauvre en calories et en glucide, mais très satiétogène. Sans oublier, ses qualités laxatives et digestives.

Côté cuisine, ce légume est facile à vivre. Il est aussi bon cru que cuit, en salade ou en accompagnement, en jus ou en smoothie.


 2.La betterave

Source de fer, de potassium, de magnésium et de vitamines (A, K, B2, B9), ce légume racine affiche une belle teneur en fibres prébiotiques et en antioxydants.

Détoxifiante, la betterave aide votre corps à réguler le transit intestinal, à se débarrasser des déchets toxiques. Cardio-protectrice, elle limite l’absorption des sucres et des graisses, elle améliore la circulation sanguine et la tension artérielle.

La consommation régulière de betterave est associée aussi à une diminution des inflammations, et à un meilleur équilibre acido-basique.


 3. L’amande

Véritable cocktail de bons nutriments, l’amande crue, non grillée et non salée, apporte des oméga 3, des fibres, des protéines, des antioxydants, de la vitamine E et du potassium.

Avec ses prébiotiques, cet oléagineux enrichit le microbiote, stimule les intestins paresseux et régule la glycémie. Selon certaines études, une consommation régulière permettrait également de réduire l’insulino-résistance.


 4. La pomme

Non content d’être une source d’antioxydants, de micronutriments (vitamines A, B, potassium, zinc, sélénium), ce fruit contient des millions de bonnes bactéries. Un aliment incontournable quand on veut chouchouter son microbiote.

Privilégiez les pommes bio. Elles affichent, en effet, une plus grande diversité de bactéries bénéfiques pour l’équilibre de la flore intestinale. De plus, elles sont dépourvues de pesticides et autres traitements phytosanitaires nocifs pour la santé.

Manger des pommes, c’est enfin s’assurer de consommer des fibres (notamment prébiotiques) qui régulent la glycémie, calment l’appétit, préviennent la constipation et brûlent les graisses.


 5. Le kéfir de lait ou de fruits

Cette super boisson est obtenue à partir de la fermentation de grains de kéfir (micro-organismes vivants) dans du lait ou de l’eau (additionnée de fruits ou du thé).

Riche en probiotiques, vitamines (A, B, E), calcium et potassium, le kéfir est excellent pour le microbiote qu’il réensemence. Il améliore la digestion, protège l’estomac et régule le transit. Il réduit le cholestérol et la pression artérielle.

Attention, le goût de levure fraîche du kéfir de fruits peut déplaire.


 6. Le yaourt K-Philus

Ce yaourt fermenté est un atout pour votre microbiote, car il est riche en probiotiques, surtout lactobacillus acidophilus (autrefois appelé le babeurre).

Véritable aliment vivant, ce yaourt (vache, brebis, chèvre) est conseillé par de nombreux naturopathes et experts en nutrition pour alimenter le microbiote, équilibrer le transit et optimiser la digestion du lactose.

Attention, ce laitage ne fait pas l’objet d’une production industrielle. On ne le trouve qu’en magasins bio.

Mettez fin au déséquilibre de la flore intestinale en débarrassant votre organisme des toxines accumulées qui nuisent à votre système immunitaire.

 25% de personnes ont un microbiote appauvri ; Statistiques INRA ; Microbiote les fabuleux pouvoirs du vendre ; ARTE ; 12.10.2019
[1] 25% des Français ont un microbiote appauvri ; INRA ; Microbiote les fabuleux pouvoirs du vendre ; ARTE ; 12.10.2019
[2] Interview Martin Blaser ; Microbiote, les fabuleux pouvoirs du ventre ; ARTE ; 12.10.2019
[3] Chu JR, Kang SY, Kim SE, Lee SJ, Lee YC, Sung MK. Prebiotic UG1601 mitigates
constipation-related events in association with gut microbiota: A randomized
placebo-controlled intervention study. World J Gastroenterol. 2019 Oct
28;25(40):6129-6144. doi: 10.3748/wjg.v25.i40.6129. PubMed PMID: 31686768; PubMed
Central PMCID: PMC6824284.
[4] Eggesbø LM, Risnes LF, Neumann RS, Lundin KEA, Christophersen A, Sollid LM.
Single-cell TCR sequencing of gut intraepithelial γδ T cells reveals a vast and
diverse repertoire in celiac disease. Mucosal Immunol. 2019 Nov 14. doi:
10.1038/s41385-019-0222-9. [Epub ahead of print] PubMed PMID: 31728027.
[5] Pushpanathan P, Mathew GS, Selvarajan S, Seshadri KG, Srikanth P. Gut
microbiota and its mysteries. Indian J Med Microbiol. 2019 Apr-Jun;37(2):268-277.
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[6] Ghoshal UC, Nehra A, Mathur A, Rai S. A meta-analysis on small intestinal
bacterial overgrowth in patients with different sub-types of irritable bowel
syndrome. J Gastroenterol Hepatol. 2019 Nov 21.
[7] Gutin L, Piceno Y, Fadrosh D, Lynch K, Zydek M, Kassam Z, LaMere B, Terdiman
J, Ma A, Somsouk M, Lynch S, El-Nachef N. Fecal microbiota transplant for Crohn
disease: A study evaluating safety, efficacy, and microbiome profile. United
European Gastroenterol J. 2019 Jul;7(6):807-814.
[8] Swann OG, Kilpatrick M, Breslin M, Oddy WH. Dietary fiber and its associations
with depression and inflammation. Nutr Rev. 2019 Nov 21. pii: nuz072.
[9] Ruohtula T, de Goffau MC, Nieminen JK, Honkanen J, Siljander H, Hämäläinen AM,
Peet A, Tillmann V, Ilonen J, Niemelä O, Welling GW, Knip M, Harmsen HJ, Vaarala
O. Maturation of Gut Microbiota and Circulating Regulatory T Cells and
Development of IgE Sensitization in Early Life. Front Immunol. 2019 Oct
23;10:2494.
[10] Wang H, Tang W, Zhang P, Zhang Z, He J, Zhu D, Bi Y. Modulation of gut
microbiota contributes to effects of intensive insulin therapy on intestinal
morphological alteration in high-fat-diet-treated mice. Acta Diabetol. 2019 Nov
20.
[11] Kasahara K, Rey FE. The emerging role of gut microbial metabolism on
cardiovascular disease. Curr Opin Microbiol. 2019 Nov 3;50:64-70.
[12] Li R, Zheng X, Yang J, Shen X, Jiao L, Yan Z, Chen B, Han B. Relation Between
Gut Microbiota Composition and Traditional Spontaneous Fermented Dairy Foods
Among Kazakh Nomads in Xinjiang, China. J Food Sci. 2019 Nov 21..
[13] Ellis SR, Nguyen M, Vaughn AR, Notay M, Burney WA, Sandhu S, Sivamani RK. The
Skin and Gut Microbiome and Its Role in Common Dermatologic Conditions.
Microorganisms. 2019 Nov 11;7(11). pii: E550.
[14] Pushpanathan P, Mathew GS, Selvarajan S, Seshadri KG, Srikanth P. Gut
microbiota and its mysteries. Indian J Med Microbiol. 2019 Apr-Jun;37(2):268-277.
doi: 10.4103/ijmm.IJMM_19_373. Review.
[15] Pekkala S, Keskitalo A, Kettunen E, Lensu S, Nykänen N, Kuopio T, Ritvos O,
Hentilä J, Nissinen TA, Hulmi JJ. Blocking Activin Receptor Ligands Is Not
Sufficient to Rescue Cancer-Associated Gut Microbiota-A Role for Gut Microbial
Flagellin in Colorectal Cancer and Cachexia? Cancers (Basel). 2019 Nov 15;11(11).
pii: E1799.
[16] https://www.greenmedinfo.health/substance/probiotics
[17] Pour la science ; Intestins et microbiote ; Dossier n°95 ; Avril / Juin 2017
[18] Pour la science, Intestins et microbiote, Dossier n°95, Avril / Juin 2017
[19] 25% des Français ont un microbiote appauvri ; INRA ; Microbiote les fabuleux pouvoirs du vendre ; ARTE ; 12.10.2019
[20] Danièle Festy ; Le grand livre des probiotiques et des prébiotiques ; Quotidien Malin Éditions ; 2014 ; Paris – France
[21] Price M (2017) Early human gut bacteria may have cycled with the season ; 24 aout 2017

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L’œuf !

Je ne prends plus de petit-déjeuner, donc ce que je fais c’est que je mange 2 à 3 œufs durs coupés en morceaux dans une salade au déjeuner…ou avec un avocat

Et puis je peux aussi en manger 1 ou 2 au dîner.

Ou parfois, je me fais une omelette avec 5 œufs, un peu de bacon, du fromage râpé et des poivrons…

Ou je me prépare des gaufres aux œufs et au fromage (qui sont d’ailleurs INCROYABLES !).

Maintenant, avant de vous expliquer pourquoi je mange autant d’œufs, je vais juste casser un mythe courant qui dit que…

« Les œufs augmentent votre taux de cholestérol et sont mauvais pour votre santé. »

Le cholestérol en lui-même n’est pas mauvais pour votre santé.

Votre corps fabrique du cholestérol, donc si vous n’en absorbez pas assez via votre alimentation, votre corps va en produire plus pour compenser.

Alors s’il vous plaît, n’ayez pas peur de manger des œufs.

Ils ont aussi un très fort effet anabolisant.

Cela signifie qu’ils se transforment en protéines, notamment en protéines musculaires.
Cette accumulation de protéines dans le corps contribue à préserver votre masse musculaire maigre.

Ils sont également très riches en vitamines et en nutriments, et… Ils contiennent quasiment toutes les vitamines, à l’exception de la vitamine C.

Ils sont aussi remplis de matières grasses saines qui vous aident à brûler plus de graisse.

Donc si vous voulez brûler plus de graisse, commencez par manger plus d’œufs. 🙂

Extrait de la lettre de nutrisolution

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Tu devrais manger plus de légumes.



Il se trouve que plusieurs études scientifiques(1)(2) récentes ont mis en lumière certains légumes réputés « sains », mais qui sont en réalité dangereux pour la santé.

Pourtant, ces légumes sont recommandés dans la plupart des régimes et des méthodes pour perdre du poids.

C’est une erreur monumentale : ces légumes contiennent en fait une protéine, la lectine, qui attaque la paroi de vos intestins. Jusqu’à les rendre « poreux ».

Et les conséquences sur la santé peuvent s’avérer très graves

Attention : je ne parle pas seulement de troubles digestifs : constipation, ballonnements, flatulences, douleurs abdominales…

Non, je fais aussi référence à des pathologies que vous ne penseriez pas directement à associer à un problème intestinal : 

  • Une fatigue chronique
  • Des douleurs articulaires
  • Des problèmes de peau
  • Une prise de poids inexpliquée
  • Des fringales incontrôlables

Et même des troubles cognitifs… Ce n’est pas pour rien que les spécialistes ont surnommé l’intestin « le deuxième cerveau ».

A l’origine de ces troubles se trouve… Une poignée de légumes que nous consommons tous régulièrement depuis notre enfance !

Ce problème est tellement répandu – et pose de tels problèmes de santé publique – que les scientifiques utilisent les termes « épidémie silencieuse » pour l’identifier.

Heureusement, nous avons en nous le remède qui permet de solutionner ces problèmes intestinaux.

Il s’agit d’un nutriment produit par nos intestins eux-mêmes, le butyrate. C’est un acide gras qui répare les parois intestinales, améliore la digestion et aide à réduire l’inflammation. Pour produire le butyrate, vous avez besoin d’avoir certaines bactéries dans vos intestins.

Pour avoir ces bactéries en suffisance dans vos intestins, vous devez consommer en suffisance certains aliments crus…Ces aliments qui « nourrissent » les bonnes bactéries ne sont pas forcément agréables à consommer crus : il s’agit de l’ail, des oignons, du pissenlit, ou encore de la chicorée sauvage…

Sources :

Extrait de la lettre de Nutrition solution

(1) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1933252/

(2) https://www.researchgate.net/publication/265615_Dietary_Lectins_as_Disease_Causing_Toxicants